Le renouveau, après l'échec ?
La création de cette coalition intervient après l'échec du « Consortium of Anti-Spyware Technology (Coast) » qui a décidé de fermer ses portes en février, après 16 mois d'activité, mais sans véritable résultat. L'ASC compte des membres aussi prestigieux qu'America Online (AOL), Computer Associates International, Hewlett-Packard, Microsoft, , , , , Aluria Software et Webroot Software. On peut également citer quelques organisations/institutions dans ce groupe comme la Canadian Internet Policy and Public Interest Clinic, la Cyber Security Industry Alliance et l'Université de Californie.
Un démarrage en douceur ...
L'ASC a initialement été formée au mois d'avril dernier, mais les documents et le site Web de l'ASC n'ont été mis en ligne que cette semaine. La grande différence entre l'ancienne Coast et l'ASC se situe au niveau de la communication et du public visé. La Coast se focalisait sur la communication entre les logiciels anti-spyware et les développeurs de logiciels, tandis que l'ASC souhaite se focaliser et s'adresser directement aux utilisateurs et aux internautes. Selon l'ASC, le problème des spywares devient un véritable problème économique pour les entreprises, car ils engendraient des coûts élevés dans la maintenance informatique.
D'ici la fin août, l'ASC devrait publier des versions finalisées de ses documents liés aux définitions et aux signatures des spywares.