Et près de deux mois après la commercialisation du premier smartphone Android du marché, le T-Mobile G1, permettant à tous de le tester via une offre commerciale complète, ce sont pas moins de 14 membres qui ont décidé de faire également partie de cette alliance. Et une fois n'est pas coutume, aucun des 47 acteurs que compte désormais cette alliance n'est français.
Concernant les nouveaux membres de l'Open Handset Alliance, il est possible de citer les constructeurs de mobiles Asus, Garmin, Toshiba, Huawei et Sony Ericsson ou encore les opérateurs mobiles Vodafone et Softbank Mobile (Japon). Pour le reste, il s'agit de fabricants de semi-conducteurs ou de puces mobiles (AKM, ARM, Atheros, Ericsson), d'éditeurs de logiciels (Omron - langage universel et manipulation d'images -) et de sociétés tierces (Borqs - plateforme de services pour opérateurs mobiles -, Teleca - solutions de communications mobiles -).
L'inscription à cette alliance est gratuite, tout comme l'utilisation du système d'exploitation mobile open-source de Google. Ce n'est pas le cas des systèmes mobiles concurrents d'autres marques (Windows Mobile de Microsoft, Symbian S60/UIQ) même si Nokia a récemment fait un pas en avant dans le monde des OS mobiles open-source et gratuits en rachetant la société britannique Symbian et annonçant la Symbian Foundation.