Dans ce contexte, « le nombre de cyberenquêteurs passera de 200 à 300 à la fin de l'année 2009 dans la police et à 214 dans la gendarmerie », soit « un doublement en trois ans », rapporte l'AFP en référence à la déclaration de la ministre lors du Forum international sur la cybercrimalité organisé à Lille.
Par ailleurs, la future loi d'orientation pour la sécurité intérieure (Lopsi 2) devrait prévoir « des sanctions pour l'usurpation d'identité sur internet », « le blocage des contenus à caractère pédopornographique par les fournisseurs d'accès internet », ainsi que « la captation de données numériques à distance par des enquêteurs. »