L'essentiel des puces électroniques produites par Freescale sont destinées au secteur automobile, particulièrement touché par la crise économique, mais le groupe envisagerait malgré tout de cesser totalement la production de puces pour téléphones et autres dispositifs portables. Le directeur général de Freescale France, Denis Blanc, promet toutefois de « trouver une solution pour chacun des 800 salariés impliqués dans la fabrication de puces ».
Freescale s'orienterait-il à l'instar de son concurrent ST Microelectronics vers le fabless, un modèle consistant à sous-traiter la production qui a joué des tours à plus d'une entreprise ? Que restera-t-il en effet dans quelques années à ces concepteurs qui confient tour à tour à une minorité de fabricants, TSMC par exemple, leur savoir-faire ?