TomTom propose déjà en partenariat avec Vodafone en Europe et SFR en France un service similaire baptisé High Definition Traffic, reposant quant à lui sur la fréquentation des relais téléphoniques bordant les routes. L'approche de Google fournit quant à elle une cartographie plus précise mais touche une population moindre, puisqu'elle requiert l'intervention du mobinaute et un téléphone équipé d'une puce GPS.
Google promet d'ailleurs qu'aucune information personnelle ne sera conservée et que les utilisateurs de Google Maps pourront refuser de participer à l'information trafic.
Cette cartographie enrichie sera consultable depuis le site internet mais aussi et surtout depuis l'application mobile disponible sur de nombreuses plateformes. Reste que contrairement à TomTom, Google ne propose pas de logiciel de guidage tirant automatiquement parti de ces données. À moins que le géant de l'internet n'ait prévu de se lancer prochainement dans la navigation routière...