"Les revenus du quatrième 2009 ont doublé par rapport à ceux de 2008 et nous devrions être rentables au plus tard au premier trimestre 2010" explique Freddy Mini, désormais aux commandes de cette jeune pousse fondée par Tariq Krim.
Même si la Netvibes mise sur sa nouvelle édition "Wasabi" pour doper les revenus liés à la distribution de widgets, Freddy Mini explique que la société tire désormais 85% de son chiffre d'affaires de revenus BtoB. "La majorité de nos revenus provient de licences logicielles. Nous proposons par exemple des premium pour les agences de relations presse ou les agences de communication" précise le dirigeant.
Un seuil de rentabilité qui devrait en tout cas permettre à Netvibes de survivre à la "Crise 2.0" que traversent de nombreuses jeunes pousses et de poursuivre ses développements autour du web en temps réel et de la personnalisation.