«Bien évidement des similitudes existent entre sites dont une partie de leurs concepts sont assez proches. Si nous développons des réseaux aussi importants que FaceBook ou Bebo, nous aurons atteint un bel objectif ! Les piliers actuels du web 2.0 ont créés de facto des standards, notamment en matière d'ergonomie. Ces standards sont des repères pour les utilisateurs et il convient de les préserver.» reconnait Christian CONTI, Directeur associé de Ipernity aux côtés de Christophe Ruelle, un brillant développeur à l'origine de Voila et eStat.
Visant aussi bien le grand public que les créateurs, Ipernity permet ainsi de publier une grande variété de contenus : photos, vidéos, fichiers audio ou simple blog. Le site a été pensé pour «favoriser les interactions entre les documents, leurs auteurs et ceux qui les découvrent et les utilisent.» notamment grâce à des outils de personnalisation ou un puissant système de tags et de géotags, associé à Google Maps.
Bien pensé et bien réalisé, Ipernity est disponible dès son lancement en français et en anglais, dans une version gratuite, monétisée par la publicité, et dans une version "pro", facturée 1,99 euros par mois, qui devrait permettre de publier des fichiers sans limitation.
Interrogé sur son ambition, Christian Continti préfère rester discret. « Notre premier objectif est de constituer une base de membres actifs la plus importante possible pour asseoir notre crédibilité.» précise t'il.
Reste à savoir si Ipernity parviendra à attirer des internautes, déjà sollicités par des réseaux sociaux (MySpace, FaceBook, Bebo, Vox sans oublier Skyblog ou Windows Live Spaces) et par des plates-formes de publication de contenu comme DailyMotion, Kewego, Wideo, Wat, Vpod, Scroon, Eyeka ou désormais iDoo pour ne citer que les français...
