L'association n'a pas apporté la preuve « de la réalisation effective d'un trouble grave à caractère manifestement illicite ou d'un risque de dommage imminent pouvant affecter les mineurs, de nature à justifier la prise de mesures immédiates », a indiqué le juge. De plus, Linden Lab, éditeur américain de Second Life, aurait décidé la mise en oeuvre prochaine d'un système « destiné à assurer un contrôle renforcé aux contenus réservés à l'adulte grâce à une vérification par un organisme tiers de l'identité des membres inscrits ».
Cette initiative va-t-elle rassurer l'association familiale ? Familles de France souhaite la mise en place de mesures techniques de protection qui empêchent effectivement les mineurs d'accéder à des contenus sensibles sur Second Life : photos et vidéos pornographiques, publicités pour le tabac, l'alcool, la drogue, etc.