Sony et Disney, l'un de ses partenaires pour le développement du Blu-ray, étaient pourtant historiquement opposés aux contenus pornographiques, Disney allant même jusqu'à refuser de collaborer avec les fabricants qui pressent des disques pour adultes. Si divers éditeurs disposent déjà du moyen de proposer des films X sur disques Blu-ray, Sony n'accordait les machines permettant dune production de masse et le support technique associé qu'à quelques fabricants sélectionnés.
D'aucuns estiment qu'en refusant les contenus pornographiques, Sony risquait de s'aliéner quelques chances de victoire dans la bataille qui oppose son format Blu-ray au HD DVD. Les partisans du format mis au point par Toshiba ne s'embarrassent en effet pas de tels scrupules.