Dans un communiqué daté du mois de mai 2006, l'association de consommateurs dénonçait fin novembre l'attitude incroyablement « autiste » du fournisseur d'accès, le fustigeant pour « l'absence ou les interruptions de fourniture du service » et soulignant l'impossibilité dans laquelle se trouvait les consommateurs de « trouver un interlocuteur pour répondre à leurs demandes légitimes ». Elle annonçait dans le même temps l'ouverture de poursuites judiciaires allant à l'encontre de Free.
Le tribunal de Paris aurait finalement décidé que la justice avait « retenu des éléments sérieux pour justifier les critiques formulées », d'après l'avocat de l'UFC cité par l'AFP. Les propos tenus par les représentants de l'association de consommateurs n'auraient donc rien eu de diffamatoire.