Parmi les effets que l'on aperçoit dans la vidéo, il y a la profondeur de champ mais aussi l'éclairage volumétrique. Une démo qui fait également usage de DirectCompute, une fonction permettant d'utiliser les unités de calcul d'une puce graphique à des fins de calcul générique. Ici ce sont essentiellement les effets de post-traitement qui en bénéficient. Pour autant, ces effets restent possibles en utilisant d'autres méthodes plus conventionnelles : on espère donc que les développeurs de jeux n'imiteront par FutureMark et utiliseront DirectCompute pour la gestion des effets physique ou de l'intelligence artificielle. Enfin, et comme le précédent 3DMark, 3DMark 11 est multi-threadé : il devrait donc tirer parti des processeurs multi-coeurs. La version finale du logiciel devrait voir le jour dans le courant du troisième trimestre, selon FutureMark.
On s'étonnera de la présence répétée du logo MSI sur plusieurs des éléments de la vidéo, un choix qui permet selon l'éditeur de financer l'édition gratuite de 3DMark 11 mais qui pose également la question de l'indépendance du logiciel vis à vis des constructeurs.