Malgré la montée en puissance des ordinateurs portables, un PC pour le jeu vidéo, ça reste avant toute chose une affaire de PC dits « desktop ». Le boîtier est plus volumineux, mais il a l’avantage de l’évolutivité parce qu’on le sait tous, une carte graphique n’est pas éternelle et en changer après deux, cinq ou huit ans, sans modifier tout le PC, ça n’a pas de prix.
- Bon compromis puissance/prix
- Écosystème NVIDIA RTX 4060
- Superbe boîtier, très spacieux
- Toute la puissance d'un RTX 4070S
- CPU 14 cœurs + 32 Go de DDR5
- Refroidissement watercooling
- Dernière génération CPU Intel
- RTX 4070S : l'idéal pour le jeu vidéo
- Boîtier spacieux et kit watercooling
Un PC de jeu vidéo, ce n’est pas un PC comme les autres. Il faut penser à cette pièce maîtresse qu’est la carte graphique, mais d’autres éléments sont à réfléchir comme le boîtier qui détermine l’évolutivité de la machine autant que ses possibilités en matière de refroidissement.
Il faut aussi réfléchir au processeur, à la quantité de mémoire RAM et au sous-système disque. Autant de points délicats quand on n’y connait pas grand-chose. C’est tout l’intérêt de se tourner vers un intégrateur qui aura retenu des composants équilibrés en fonction du budget de chacun, d'autant que LDLC ne se contente pas de la garantie légale.
C'est effectivement un autre atout de la société française qui garantit 3 ans tous ses composants – donc les cartes graphiques NVIDIA RTX – quand la loi n'impose que 2 ans : on est serein un peu plus longtemps. Suivez ce lien pour savoir plus sur la garantie LDLC.
Omniprésence de NVIDIA
Aujourd’hui, quand on pense jeu vidéo sur PC, on pense GeForce et, donc, NVIDIA. Ces dernières années, la firme a mis un point d’honneur à faire progresser le jeu sur PC grâce à ses cartes graphiques ainsi qu'à ses nouvelles technologies, à l’écosystème mis en place afin d’offrir aux joueurs les meilleures conditions. Cela passe par des jeux plus beaux, mais aussi plus fluides et à l’animation plus constante. Enfin, cela passe par une réactivité accrue, afin de satisfaire les amateurs d’eSport notamment.
DLSS : moins de pixels, plus de finesse
Lancé en février 2019 à la faveur de la sortie de deux jeux majeurs – Battlefield V et Metro Exodus – DLSS est une technique d’amélioration du rendu de l’image d’abord par ce que l’on appelle la mise à l’échelle : l’image est calculée par la carte graphique en Full HD (1080p) par exemple et DLSS se charge, via de puissants algorithmes, de la passer en 1440p pour un résultat plus agréable.
Bien sûr, DLSS 1.0 n’aura été qu’une première étape pour NVIDIA qui a fait évoluer les choses pour toujours plus de finesse, toujours plus de précision. En avril 2020, DLSS 2 arrive pour accompagner les Tensor Cores introduits aux GeForce RTX 2000. L’intelligence artificielle est maintenant mise à contribution pour mieux travailler cette mise à l’échelle.
Troisième étape clé de DLSS, la frame generation (génération d’image) est introduite en septembre 2022 avec l’arrivée des GeForce RTX 3000. Maintenant, sur un jeu, le rendu d’une image sur deux n’est plus effectué par la carte graphique, mais par l’IA elle-même. En toute logique, cela augmente nettement la fluidité de l’animation et permet d’exploiter le GPU à d’autres fins.
Ray tracing et DLSS 3.5
Quelles autres fins ? L’augmentation du niveau de détails pour profiter d’une meilleure ambiance, d’une immersion plus convaincante, mais aussi l’activation du ray tracing. Cette méthode de rendu n’est pas nouvelle, mais particulièrement lourde, elle ne pouvait se suffire de la puissance de nos GPU… jusqu’à l’arrivée de l’intelligence artificielle pour les décharger.
Pour faire simple, le ray tracing consiste à envoyer de multiples « rayons » depuis la caméra jusqu’aux objets à éclairer. On étudie le parcours des rayons pour déterminer quels éclairages mettre en œuvre sachant que le matériau « d’arrivée » aura son importance pour déterminer d’éventuels rebonds du rayon qui pourra rebondir encore et encore pour plus de nuances dans les lumières portées.
Sur Portal RTX, il est question d’envoyer 20 rayons par pixel et de calculer jusqu’à 8 rebonds, mais pour parfaire les choses, NVIDIA a mis en place la ray reconstruction (reconstruction de rayons) qui associe les informations récoltées pour l’upscaling de DLSS à l’étape de débruitage du ray tracing. Cette étape pouvait faire apparaître des défauts, en particulier sur les scènes en mouvement : le supplément d’informations autorisé par la ray reconstruction y remédie.
Autre exemple, plus récent encore que Cyberpunk 2077 ou Portal RTX, Indiana Jones et le Cercle Ancien va un peu plus loin : plus complet que le ray tracing, le path tracing y est exploité à tous les niveaux et, pour en profiter pleinement, une GeForce RTX série 40 est indispensable. Un petit tour vers notre dossier consacré au jeu de Bethesda devrait vous convaincre.
12 décembre 2024 à 11h00
Adoptez le bon Reflex
Petit défaut des dernières technologies NVIDIA, elles peuvent entraîner un surcroit de latence : en effet, pour travailler le rendu de « son » image, l’IA se base sur les images précédentes/suivantes induisant nécessairement une certaine latence… qu’il est toutefois possible de réduire grâce à la mise en place de la technologie Reflex, également utilisée pour l’eSport.
L’idée derrière Reflex est d’optimiser chaque étape dans le processus qui conduit au rendu d’une scène à l’écran. Des étapes qui démarrent avec la moindre impulsion lancée par le joueur avec son clavier ou sa souris et qui s’achèvent avec la reproduction, à l’écran, de cette impulsion en passant, bien sûr, par le traitement CPU et GPU, au cœur de cette latence.
Avec Reflex, NVIDIA synchronise ces étapes afin qu’il n’y ait plus de facteurs limitants. En l’absence de goulot d’étranglement, la fluidité de l’animation est plus constante et on évite les accrocs liés à une faiblesse CPU ou à l’engorgement de la fille d’attente GPU. Cette latence optimisée est utile pour DLSS, mais aussi pour les amateurs d’eSport qui peuvent compter sur une réactivité impeccable, à condition, bien sûr, d’associer leur PC à un écran gaming à haute fréquence.
Trois cartes graphiques pour doper votre PC
- Puissance et compacité
- Écosystème NVIDIA (DLSS, Reflex)
- Échauffement réduit, peu de bruit
- Carte compacte et légère
- Chauffe et bruit très limités
- Fonctions RTX (DLSS, Reflex)
- Excellentes performances en jeu
- 12 Go de mémoire vidéo
- Carte compacte et discrète
- Puissance et compacité
- Écosystème NVIDIA (DLSS, Reflex)
- Échauffement réduit, peu de bruit
Entrée de gamme de la génération RTX 40 « Ada Lovelace », l'ASUS Dual GeForce RTX 4060 EVO OC Edition 8 GB signe une belle montée en puissance par rapport aux RTX 3060 et offre tout ce qu'il faut pour profiter des jeux du moment dans de bonnes conditions. Pour cela, on peut notamment compter sur les dernières technologies imaginées par NVIDIA, DLSS frame generation et DLSS ray reconstruction en tête.
Profitant de la gravure 5 nm de TSMC, ASUS et NVIDIA sont à même de produire une carte qui chauffe très peu. Son système de refroidissement peut donc rester très discret et la carte, dans son ensemble, ne prendre que peu de place. Une GeForce puissante, compacte et bon marché. Que demander de plus ?
- Carte compacte et légère
- Chauffe et bruit très limités
- Fonctions RTX (DLSS, Reflex)
NVIDIA s'est assurée de nombreux partenariats sur la génération « Ada Lovelace » et MSI n'est pas le moindre d'entre eux. La GeForce 4060 VENTUS 2X BLACK 8G OC n'est, malgré un nom à rallonge, pas là pour nous baratiner. Son GPU AD107 et ses 3 072 cœurs assurent de très bonnes performances en Full HD.
Mieux, la carte de MSI profite aussi des 96 cœurs Tensor et des 24 cœurs RT pour exploiter au mieux les dernières technologies NVIDIA, frame generation et ray reconstruction en tête de liste. L'idée est bien sûr d'activer un maximum d'effets visuels tout en gardant une excellente fluidité d'animation. Pour ne rien gâcher, la chauffe – même en pleine charge – reste limitée et les nuisances sonores sont très faibles.
- Excellentes performances en jeu
- 12 Go de mémoire vidéo
- Carte compacte et discrète
Dernières nées des cartes NVIDIA de génération « Ada Lovelace », les modèles SUPER sont arrivés cette année sur le marché. L'objectif est ici de donner un joli coup de fouet à des modèles déjà très performants en venant rajeunir leur fiche technique à coups de caractéristiques détonantes.
Excusez du peu, mais on parle ici de 7 168 cœurs CUDA afin de garder des performances de premier plan, même en définition QHD (2 560 x 1 440) avec tous les détails graphiques au maximum. Le ray tracing ne fait pas peur aux 224 cœurs Tensor et aux 56 cœurs RT qui composent un GPU remarquable de puissance. Black Myth Wukong ou Indiana Jones et le Cercle Ancien sont ainsi à leur aise sur cette carte qui achève de nous convaincre avec ses 12 Go de mémoire GDDR6X et une compacité de bon aloi.
Trois PC complets, pour ne pas se tromper
- Bon compromis puissance/prix
- Écosystème NVIDIA RTX 4060
- Superbe boîtier, très spacieux
- Toute la puissance d'un RTX 4070S
- CPU 14 cœurs + 32 Go de DDR5
- Refroidissement watercooling
- Dernière génération CPU Intel
- RTX 4070S : l'idéal pour le jeu vidéo
- Boîtier spacieux et kit watercooling
- Bon compromis puissance/prix
- Écosystème NVIDIA RTX 4060
- Superbe boîtier, très spacieux
Afin de toucher un maximum de joueurs, LDLC a mis au point cette configuration qui doit faire avec des compromis, mais apporte suffisamment de puissance pour faire tourner tous les jeux du moment dans de bonnes conditions. En celà, elle est bien aidée par la remarquable GeForce RTX 4060 dotée de 3 072 cœurs CUDA et de 8 Go de mémoire vidéo GDDR6.
Le reste de la configuration est tout à fait cohérent pour aboutir à un rapport performances/prix remarquable. On pense bien sûr à son processeur Intel Core i5-12600F qui se déleste de la solution graphique intégrée : inutile, il y a la RTX 4060 pour faire le travail. Les 6 cœurs/12 threads du CPU sont aidés dans leurs tâches par 32 Go de DDR4 car, même sur une machine à petit prix, il ne faut pas lésiner sur la mémoire vive. Enfin, l'élégance n'a pas été sacrifiée avec le boîtier Phanteks NV5. Ses larges parois de verre trempé offrent une vue plongeante sur votre configuration gaming.
- Toute la puissance d'un RTX 4070S
- CPU 14 cœurs + 32 Go de DDR5
- Refroidissement watercooling
Le remarquable boîtier moyen tour MSI MPG Gungnir 111R sert d'écrin au PC11 Perfect DDR5 qui, son nom l'indique assez clairement, nous fait basculer vers la mémoire DDR5 et pas n'importe comment, avec 32 Go de RAM 5600 MHz s'il vous plaît ! L'objectif est bien sûr de nous offrir une machine à l'aise sur tous les jeux, et ce, peu importe le niveau de détails.
Pour y parvenir, LDLC a peuplé le boîtier MSI d'une carte mère B760 Gaming Plus WiFi, toujours signée MSI. Celle-ci est un parfait support pour le processeur Intel Core i5-14600KF et ses 14 cœurs/20 threads capables d'atteindre jusqu'à 5,3 GHz, excusez du peu. Pour parfaire les choses et mettre les joueurs dans les meilleures dispositions, ce n'est rien de moins qu'une GeForce RTX 4070 SUPER dotée de 12 Go de mémoire vidéo qui a été retenue. Rien à redire.
- Dernière génération CPU Intel
- RTX 4070S : l'idéal pour le jeu vidéo
- Boîtier spacieux et kit watercooling
Doté des toutes dernières technologies imaginées par Intel d'un côté et NVIDIA de l'autre, le PC11 Top Perfect Gen 15 est la réponse presque parfaite à toutes les interrogations que peuvent se poser les joueurs. Côté carte graphique, rien à redire, la GeForce RTX 4070 SUPER et ses 12 Go de mémoire vidéo offrent la réserve de puissance nécessaire pour profiter de tous les jeux les plus récents dans d'excellentes conditions.
En cela, la carte graphique NVIDIA est appuyée par ce qui se fait de mieux – ou presque – en matière de processeur Intel : un Core Ultra 7 265K de dernière génération (Arrow Lake) avec ses 20 cœurs et une fréquence boost de 5,5 GHz. Pour parfaire les choses, LDLC monte l'ensemble sur une excellente carte mère MSI Z890 Gaming Plus WiFi et lui associe la bagatelle de 32 Go de DDR5. Tout ce petit monde profite de l'élégance du boîtier moyen tour Corsair 4000D Airflow. Elle n'est pas belle la vie ?