ACTA, c'est le projet über secret de lutte contre la contrefaçon sur Internet dont on ne devait rien savoir, une sorte de Yalta de la propriété intellectuelle prévu pour se jouer à guichet fermé et qui, ça n'a pas manqué, s'est répandu à la vitesse grand V sur la Toile. On ne connait pas tous les détails de ce projet qui de toute façon n'est pas finalisé mais on sait déjà que ce sera lourd, coûteux et d'une efficacité douteuse...
Aujourd'hui, quand tu bosses dans le domaine de la communication, tu te dois d'avoir monté au moins deux pages Facebook, animé trois groupes et sponsorisé quatre applications, sinon t'es rien qu'un looser. Problème pour les marques, qui toutes ont investi ce terrain de jeux à 500 millions de membres : il semblerait qu'à force de fédérer sur Facebook, elles finissent par perdre du trafic sur leurs propres sites. Aime-toi et Facebook t'aimera !
Si l'on en croit l'éditeur AVG, il ne ferait pas bon surfer sur le Web turc. Non contente d'être régulièrement censuré, dès qu'un internaute commet l'erreur de toucher à la figure tutélaire du pays, il serait aussi l'un des plus dangereux au monde, du fait d'une très forte présence de menaces en tout genre. Heureusement, pas loin, on peut surfer peinard, youpi !
Petits cons ! Ah, je peux vous dire que de mon temps, on volait des vélos, on ramassait du cuivre sur les chantiers, on rackettait les grands mères... bref, de saines occupations, propices à l'ouverture d'esprit ! Impensable de s'abrutir des heures durant sur un Meuporg, ou un Morpeug, on sait plus trop comment il faut le dire. Bon en même temps, de mon temps, on savait pas récolter 60 000 euros en restant peinard derrière un ordinateur !