Il faut dire que l'avenir du site était déjà bien compromis. Des critiques avaient déjà émaillé les comptes-rendus politiques de la rue de la Boétie dès la mi-décembre. Certains évoquaient même le coût de lancement du site, estimé à 500 000 euros, comme une raison pour lui couper les vivres.
Pourtant, le réseau devait faire partie de la stratégie de la majorité afin d'établir une relation avec les électeurs et ainsi recueillir leurs initiatives. De son côté, le parti socialiste compte bien poursuivre sa présence sur le Web avec la Coopol. Les deux services ont été lancés dans le même période...