La pratique du Google bombing n'est pas nouvelle. On se rappellera qu'il était arrivé la même mésaventure à Jacques Chirac. Il suffisait alors simplement de taper « escroc » pour tomber sur une page de présentation du président de la République d'alors. Georges Bush avait aussi connu la même expérience.
Techniquement, la méthode a quelque peu évolué. Auparavant, il suffisait de créer de faux sites dans lesquels il était possible d'inclure des liens indiquant le terme recherché. Ensuite, le GoogleBot explorait ces sites en faisant augmenter le PageRank de cette association de termes. Cette fois, des internautes ou webmasters utilisent cette requête peu élogieuse pour pointer vers cette page Facebook.
Pour sa part, Google confirme que cette pratique existe bel et bien mais qu'il n'est pas question de piratage. La firme présente ses excuses, sans pouvoir réellement en contrer les effets, à part supprimer « trou du cul » des suggestions Google. Un droit que se réserve Google.