Ce dispositif avait été inauguré en 2011 lors du drame de Fukushima. Un temps réservé aux catastrophes naturelles, le Safety Check a été étendu aux situations de crise de type attentats à l'occasion des événements du 13 novembre dernier, à Paris. Il avait alors été utilisé par quelque 5,4 millions d'internautes selon le réseau social.
Plusieurs internautes avaient interpellé Facebook et ses responsables mardi matin, notamment via Twitter, pour réclamer l'activation de cet outil, une urgence renforcée par la saturation des réseaux mobiles dans les zones concernées. Vers 11 heures, le vice-Premier ministre belge, Alexander De Croo, a appelé sur Twitter à privilégier les communications via les réseaux sociaux - de préférence en WiFi - pour limiter la congestion signalée par les opérateurs locaux.