C'est une entreprise visiblement basée à Hong-Kong, à en croire les documents mis en ligne, qui détenait les 32 noms de domaines ciblés dans l'affaire. Le cyber-squatteur n'a jamais pris la peine de prendre part à la procédure pour faire valoir ses arguments auprès du National Arbitration Forum, qui avait reçu la plainte de Google en janvier dernier. L'organisme, chargé depuis 1999 de régler les litiges liés aux noms de domaine, a donc ordonné le transfert des adresses à la firme de Mountain View.
La liste des domaines comporte geoolge.com gggoogle.com, ggolge.com, ggoole.com, go0gle.com, gogelmail.com, goggleemail.com, gogglemails.com, gologle.com, googemail.com, googer.com, googlae.com, googlecalander.com, googlede.com, googledevice.com, googleen.com, googlehomepage.com, googleparking.net, googlepictures.com, googletr.com, googlev.com, googlp.com, googlse.com, googlu.com, googne.com, googole.com, googu.com, goolggle.com, goolgle.com, goolglemail.com, gooogly.com et gougle.com. Certains sont déjà inactifs, tandis que d'autres renvoient toujours vers des pages plutôt douteuses : reste à savoir si Google s'en servira ou les laissera à l'abandon.