Plus récemment, l'autorité avait précisé son propos et rappelait qu'elle travaille sur le cas Skype depuis 2007, date à laquelle les premières démarches administratives ont été effectuées. Le régulateur restait ainsi ferme malgré les arguments avancés par Skype.
Le débat reste donc stérile. Toutefois, PCInpact relève la question au gouvernement posée par le député socialiste Henri Jibrayel. L'élu indique qu' « aujourd'hui, un tiers des communications internationales auraient lieu via ce logiciel » et demande à ce que Fleur Pellerin, ministre déléguée en charge de l'Economie numérique, se positionne.
Toutefois, l'Arcep avait bien expliqué avoir saisi la justice afin qu'elle se prononce sur la question. C'est donc aux tribunaux qu'il reviendra de rendre leur décision.