Pour rappel, l'affaire remonte à février 2012, période pendant laquelle un chercheur de Stanford a remarqué que Google, comme certaines autres régies publicitaires, avait volontairement modifié le code de ses publicités destinées aux navigateurs. Leur objectif était alors de contourner les paramètres de confidentialité de Safari sur iOS et Mac OS X alors que par défaut, le navigateur rejette les cookies tiers.
Plusieurs firmes comme Apple et Microsoft avaient par la suite attaqué Google devant la FTC, demandant réparation. La justice avait ensuite été saisie et un juge fédéral devait rendre sa décision. Celui-ci absout en partie Google, puisqu'il considère que la société a effectivement contourné les paramètres pour ensuite utiliser ces informations. Toutefois, les plaignants « n'ont pas pu démontrer qu'ils ont souffert de cette collecte ou de cette vente d'informations », précise le Wall Street Journal.
Aucune nouvelle sanction n'est donc infligée à Google. La firme s'est dite satisfaite de cette décision.