Le « Lumix SZ7 » embarque effectivement un zoom 10x dans un boitier de 21 mm d'épaisseur seulement. Celui-ci se paie le luxe d'être stabilisé et d'offrir un confortable grand angle, à défaut d'être particulièrement lumineux, avec une équivalence 25-250 mm f/3,1-5,9.
Il abrite un capteur CMOS au format 1/2,3 pouce de 14,1 millions de pixels. Celui-ci photographie jusqu'à 1600 ISO en natif et jusqu'à 6400 ISO en étendu, et à 10 i/s en rafale, ce qui lui permet d'offrir les fonctions panoramique et photo 3D par balayage, HDR et photo de nuit à main levée. Il filme en outre en Full HD 1080/50i au format AVCHD ou en 1080/25p au format MP4, avec son stéréo.
Sur le plan ergonomique, le « SZ7 » arbore un écran LCD non tactile affichant 460 800 points sur une diagonale de 3 pouces (7,62 cm). L'ensemble offre les fonctions Intelligent Auto (iA), Intelligent Scene Selector et la reconnaissance de visages spécifiques (pour privilégier un proche à un inconnu), mais aucune fonction manuelle.
Notons enfin que la batterie, revendiquant une autonomie de 200 photos, peut être rechargée au moyen d'un chargeur conventionnel mais aussi d'un simple cordon USB.
Le « Panasonic Lumix DMC-SZ7 » sera commercialisé en France à partir du mois de mars au prix public de 250 euros, un tarif relativement élevé pour un modèle destiné au photographe du dimanche, mais il est justifié sur le papier.