Le plus lumineux du segment
Pour commencer, il fait mieux que le tout récent Samsung EX2F sur le plan optique, en offrant la même ouverture record en position grand angle, et en zoomant à la fois plus loin et plus lumineux. Son zoom 3,75 fois est effectivement équivalent à un 24-90 mm f/1,4-2,3. Au grand angle il est donc deux fois plus lumineux que son prédécesseur, et 1,33 fois plus lumineux que les nombreux compacts ouvrant à f/1,8.
Le fût de son zoom accueille d'ailleurs, en plus des sélecteurs de ratio et de mode de mise au point existants, une bague de diaphragme dédiée, comme sur les reflex argentiques. Sa fonction n'est malheureusement pas paramétrable, comme c'est souvent le cas, alors qu'avec un tel capteur, l'ouverture n'a pas l'impact visuel la justifiant à plein temps. Une nouvelle molette fait néanmoins son apparition au dos, aux côtés de la première.
Un capteur CMOS
Le capteur au format 1/1,7 pouce est plus grand que sur la majorité des compacts grand public mais c'est désormais le minimum syndical pour un compact expert. Il troque son vieillissant capteur CCD pour un capteur CMOS moderne s'en tenant à 10 millions de pixels, ce qui lui permet de revendiquer une bonne gestion du bruit.
Associé à la nouvelle puce de traitement Venus Engine VII FHD, il grimpe d'ailleurs à 6400 ISO en natif et à 12 800 ISO en étendu, et filme en Full HD 1080/50p.
Le « Panasonic Lumix DMC-LX7 » sera prochainement commercialisé au prix public de 500 euros.
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