
Le groupe de Mark Zuckerberg s'en sort mieux que prévu, avec un chiffre d'affaires en baisse, mais moins qu'attendu par les analystes financiers.
Beaucoup ont, semble-t-il, un peu trop vite enterré Facebook, à en croire les résultats du dernier trimestre de sa maison mère Meta.
Deux milliards d'humains sur Facebook tous les jours
Le réseau social fondé en 2004 par Mark Zuckerberg est désormais utilisé par plus de deux milliards d'utilisateurs au quotidien. C'est tout simplement un record pour la plateforme qui n'avait jamais atteint ce palier en près de 20 ans d'existence, mais pas pour le groupe Meta. La messagerie instantanée WhatsApp a déjà franchi cette barre quelques mois auparavant.
Le nombre d'utilisateurs actifs mensuels utilisant le réseau social est, lui aussi, en hausse, avec 2,96 milliards de personnes se connectant régulièrement au réseau social.
Cette augmentation du nombre d'utilisateurs est l'une des rares bonnes nouvelles présentées par Meta depuis longtemps. La plateforme, malgré son âge avancé, reste toujours attractive pour les annonceurs, et le groupe peut espérer faire prospérer les revenus tirés de la publicité, qui constituent aujourd'hui la quasi-intégralité de ses revenus globaux.
Meta se réorganise pour être plus efficace en 2023
Tout n'est pas rose chez Meta pour autant. Le groupe a subi au cours de son dernier trimestre une baisse de chiffre d'affaires de 1 %, soit 32,16 milliards de dollars. Lee bénéfices, quant à eux, chutent de manière vertigineuse, avec une baisse de 55 % des profits. Les investisseurs et les analystes s'attendaient malgré tout à pire, et ont salué cette performance moins désastreuse que prévue. L'action Meta a bondi de 20 % à l'ouverture du NASDAQ ce jeudi 2 février.
Mark Zuckerberg a expliqué que 2023 serait « l'année de l'efficacité » et va poursuivre la réorganisation de l'entreprise en allégeant la bureaucratie pour faciliter la prise de décision. Le groupe a également licencié 13 000 employés en fin d'année 2022.
Concurrencé par TikTok et ébranlé par le ralentissement économique et la frilosité des annonceurs, Meta va aussi poursuivre ses investissements. Pas question de revenir sur le metaverse, mais Mark Zuckerberg, dans ses commentaires livrés aux actionnaires, a mis davantage en avant les progrès en intelligence artificielle. Le groupe veut accélérer sur les moteurs de recommandations, intégrés à l'ensemble de ses applications, pour augmenter le temps d'utilisation et le nombre de publicités vues.
Source : Engadget
oui mais pourquoi faire ?
Bonjour
Toujours “conquête” ? Le mot conquête a un sens guerrier, militaire, politique. Il a eu son usage dans les années 60 à l’époque de la guerre froide, où envoyer des engins dans l’espace était une preuve de supériorité militaire et politique. Il n’a plus de sens aujourd’hui, où les différentes agences spatiales collaborent largement entre-elles, pour explorer l’espace, pas le conquérir.
Quand allez-vous revoir votre vocabulaire ?
A part ceci, le fond de l’article est vide …
Pas trop d’accord avec toi Badulesla. Le terme conquête désigne l’appropriation de lieu, de terre, prendre pied sur un nouveau lieu. Dans le Larousse ils parlent meme de découverte.
La conquête de l’Himalaya, la conquête de l’Ouest date du 18-19eme siècle, tu n’as jamais entendu ?
Quelle defaite ? Les USA ne sont jamais alles sur la lune.
clubic: a effacer, doublon à cause d’un bug de votre espace commentaire
Ah bon ? t’as des preuves de ça ?
Les USA non, juste quelques américains
Une calamité ce système de commentaire. Dire que ça leur a pris des mois pour le rendre dispo…
Dès la première phrase ça part sur une posture anti-Russe. On est pas dans un comics les gars.
Pas mal hé hé, bonne réponse !
C’est clair que cela en devient maladif cette propagande, surtout que de nos jours dans le domaine scientifique la coopération est plutôt bonne je trouve.
L’impression 3d est une excellent idée, le reste mouais avoir.
Surtout que le 1er homme à être allé dans l’espace n’est pas amerloque. Mais cela, bien des médias l’oublient.
Oui entre autres.
C’est clairement dommage que les journalistes entretiennent toujours de telles tensions inutiles.