La critique est venue de nombreux éditeurs du pays ainsi que les groupes de presse comme Axel Springer ou Bertelsmann qui ont estimé que Google utilisait leurs contenus sans leur reverser aucun droit. Des propos repris par le ministre allemande de la Culture qui a considéré que cette situation était « inacceptable ». C'est pourquoi un tel texte de loi a été adopté par le gouvernement.
Même s'il édite un service propre, la critique envers Google s'est focalisée sur le fait que le groupe américain utilisait gratuitement des contenus dans un but lucratif.
En France, Google Actu publie le titre ainsi que les premières lignes du chapeau d'un article. En février dernier, le Syndicat de la presse quotidienne nationale avait demandé aux candidats à l'élection présidentielle qu'ils se positionnent afin de taxer les FAI mais également les moteurs de recherche ou les fabricants de tablettes tactiles afin qu'ils participent au développement du secteur. Le SPQN souhaitait également que la presse en ligne soit soumise au même taux réduit de TVA à 2,1 % que la presse traditionnelle.