Selon la ville, Facebook exploite les données de personnes qui ne sont pas membres de ce réseau. En cause, l'option de « proposer un ami » qui puiserait dans des « répertoires d'adresses des boîtes électroniques de ses membres ». Ces adresses contribuent ensuite à établir de nouveaux profils de personnes pourtant non-membres.
Autre point, la ville d'Hambourg estime que Facebook utilise ces informations indûment obtenues à des fins publicitaires. Le problème est donc qu'en principe, aucune autorisation n'est demandée. L'Allemagne laisse à Facebook jusqu'au 11 août pour répondre à ces accusations.