Au jeu des sept différences, s'inspirer des D5300 et D5500 n'est pas vraiment une bonne idée. Parce que le compte est bon, mais on y parvient péniblement. Énumérons les changements ci-dessous :
- la structure du boîtier est en fibre de carbone ;
- dimensions et poids ont été revus à la baisse (124 x 97 x 70 mm contre 125 x 98 x 76 mm et 420 g contre 480 g) ;
- l'écran articulé est désormais tactile (c'est sûrement la plus grosse nouveauté) ;
- l'autonomie passe de 600 vues à 820 vues (normes CIPA), c'est le deuxième point saillant ;
- le GPS intégré sur le D5300 a disparu ;
- les 25 600 ISO disponibles en sensibilité étendue sur le D5300 le sont en natif sur le D5500 ;
- le D5500 accueille un nouveau mode « rendu uniforme » pour la vidéo facilitant la post-production.
Voilà, tout le reste est identique, à savoir le capteur CMOS 24 mégapixels sans filtre passe-bas, le processeur Expeed 4, la taille et résolution de l'écran (3,2 pouces en 1 040 000 pixels), le Wi-Fi intégré, la rafale à 5 im/s, la vidéo en 1080p à 60 im/s, l'AF à détection de phase sur 39 collimateurs, ou encore le viseur à 95 % avec grossissement de 0,82X.
Le D5500 sortira le 5 février au prix de 899 € avec l'objectif Nikkor 18-55 mm VRII.