Plus les mois passent et plus Prime Video est davantage comparable à Disney+ qu'à Netflix. Entre un rythme de production et une qualité en dents de scie, un prix en hausse, des suppressions de fonctionnalités et l'ajout prochain de la publicité, il est assez difficile d'acclamer la plateforme d'Amazon ces derniers mois. Faisons malgré tout le point.
- moodRemboursement sous 30 jours
- devices3 connexions simultanées
- live_tvQualité vidéo : Ultra HD (4K)
- downloadLecture hors ligne disponible
- escalator_warningEspace enfant disponible
- Prix d'abonnement assez raisonnable et UHD/HDR intégrés...
- Accès direct à d'autres services...
- La fonctionnalité X-Ray, unique
- ... mais surcoût pour se débarasser de la publicité
- ... mais intégration assez lourde et confuse
- Catalogue d'œuvres originales un peu timide
Amazon a intérêt à se montrer convaincant auprès de ses abonnés Prime Video pour le reste de 2024. Après un démarrage plutôt réussi avec la version série de Mr and Mrs Smith, le rythme de sorties marquantes s'est en effet déjà calmé (en attendant l'adaptation du jeu vidéo Fallout en avril ?). Il n'est assurément pas certain que la proposition actuelle suffise à faire passer la pilule de l'ajout prochain de la publicité au sein de l'offre. D'autant que contrairement à chez Netflix et Disney+, cela ne sera pas compensé par un nouvel abonnement moins cher (il faudra payer plus pour s'en débarrasser…). Sauf miracle, notre classement des meilleures plateformes de streaming risque donc de bouger lors du lancement « perdant-perdant » pour les abonnés. En attendant, voyons l'état actuel de la plateforme, qui propose tout de même encore quelques séries et films qui méritent le coup d'œil.
Interface et ergonomie : passons le tout au rayon X
Après une très longue période d'incohérences et de choix douteux, Amazon propose enfin une interface et une expérience utilisateur harmonisées sur toutes les plateformes où Prime Video est proposé. Nous nous baserons donc en majorité sur la version web de la plateforme, même si quelques petites différences existent.
Dans tous les cas, une fois connecté, tout commence sans surprise par la sélection d'un profil. Il est possible d'en créer de nouveaux et de changer les noms et photos de chacun. Relevons d'ailleurs en passant que, contrairement à Netflix, il est toujours autorisé (pour le moment ?) par Amazon de partager son compte avec quelqu'un qui ne vit pas dans son foyer.
Beaucoup moins chargée en dizaines de vignettes qu'auparavant, l'interface principale du service d'Amazon propose en son cœur un classique carrousel de recommandations doté de boutons pour des actions rapides (lire, ajouter en favoris…).
En dessous, la section « Continuez à regarder » regroupe les films et séries commencés par l'utilisateur. Notez que régulièrement cette section se trouve plus bas à cause de (trop) nombreuses recommandations tierces. Pénible. Ensuite, d'autres encarts dédiés à des abonnements supplémentaires facultatifs (et parfois un peu trop omniprésents d'ailleurs), des catégories, les derniers programmes originaux d'Amazon ou encore les tendances actuelles et des recommandations personnalisées s'enchaînent.
En haut de l'interface, différents menus, désormais déroulants, sont là. Dans « Accueil » on trouve des catégories larges, à savoir Tout, Films, Séries et Sport. Dans « Boutique », vous pourrez acheter ou louer du contenu et retrouver le système de chaînes de Prime Video. Plus de détails sur ce système d'Amazon (que propose aussi plus ou moins myCanal) plus bas dans cet avis.
Faisons tout de même un petit crochet dans la section « Guide des chaînes » dans le sous-menu « Chaînes ». Prime Video regroupant aujourd'hui énormément de services tiers qui diffusent parfois du contenu en live, il peut être compliqué de savoir ce qui est diffusé et quand. Cette partie tente de répondre à ce besoin.
Ensuite, « Catégories » regroupe du contenu par genres, mais aussi par collections thématiques conçues par Amazon.
Terminons notre tour des menus principaux sur desktop avec « Mon espace ». Comme son nom l'indique, c'est là que se trouvent les films et séries (regroupés ou agréablement séparés, au choix, contrairement à Netflix qui regroupe toujours tout) que l'utilisateur a ajouté en favoris à sa bibliothèque avec le bouton idoine situé sous chaque œuvre. Un onglet permet également de retrouver ses achats et locations, tandis qu'il est possible de trier les œuvres par date d'ajout ou par ordre alphabétique.
Les fiches des œuvres sont également bien plus riches et agréables à consulter qu'auparavant. Devant une grande image, on retrouve des classiques synopsis et informations (durée, note IMDb, âge minimum, genres…). Des boutons pour lire, télécharger, regarder à plusieurs ou encore ajouter en favoris sont évidemment là. En bas, Amazon liste du contenu similaire et davantage de détails avec des liens permettant par exemple d'afficher toutes les œuvres où figure un acteur en particulier.
Concentrons-nous désormais sur les options. Celles-ci sont accessibles dans le menu déroulant tout en haut à droite, après avoir cliqué sur son image de profil (laquelle permet également d'en changer ou de se déconnecter) dans « Compte et Paramètres ».
Dix sous-menus vous y attendent, et sont présentés assez clairement. « Votre Compte » permet, via Amazon, de consulter ou modifier vos informations (nom, email, mot de passe…) et votre abonnement (formule et modes de paiement). « Chaînes » et « Commandes » permettent de garder une trace de vos abonnements et achats facultatifs. Dans « Lecteur », vous pouvez activer ou non la lecture automatique de la prochaine vidéo quand vous avez terminé un épisode, ainsi que les bandes-annonces. « Contrôle parental » propose sans surprise de définir un code PIN pour restreindre des achats ou la lecture de contenu en fonction d'âges ou d'appareils définis.
Ensuite, « Sous-titres » vous propose de régler des profils que vous pourrez ensuite retrouver sur vos appareils. Couleur du texte, de l'arrière plan, taille, police, opacité… Il y a de quoi faire. Ensuite, « Vos appareils » permet d'en enregistrer un nouveau ou à l'inverse de couper l'accès à Prime Video à d'autres. « Langue » permet simplement de régler la langue du site, et enfin, avec « Historique de lecture » et « Vidéos masquées » vous retrouverez et gèrerez l'affichage de vos contenus.
Toutes ces options ne sont pas présentes sur mobile, mais les moutures Android et iOS proposent des options (illustrées ci-dessus) concernant la qualité de lecture et de téléchargement afin d'utiliser plus ou moins de données. Si vous voulez limiter le streaming et/ou le téléchargement aux connexions Wi-Fi, c'est également possible. On apprécie enfin la possibilité de télécharger et de supprimer automatiquement ou non des épisodes.
Évoquons maintenant l'interface de lecture de la plateforme d'Amazon. Notons d'emblée que dans certains cas, à l'instar d'Apple TV+ notamment, Prime Video impose un petit trailer présentant d'autres programmes au moment de lancer l'œuvre sélectionnée par l'utilisateur. Cette publicité intégrée peut être un peu pénible à l'usage, mais il est heureusement possible de la passer.
On trouve par ailleurs des classiques barres de défilement et de volume, des boutons +/- 10 secondes ou encore ceux permettant de changer la langue de l'audio (et le potentiel boost audio des dialogues) et des sous-titres. Un bouton permet aussi de modifier la qualité de streaming à la volée selon trois réglages, quand la concurrence se propose de le faire uniquement de manière automatique.
Dans le cas des séries, des boutons « Passer l'intro » et « Épisode suivant » sont également de la partie.
Parlons également de la fonctionnalité X-Ray, présente dans l'interface de lecture et assurément principale spécificité de Prime Video par rapport à la concurrence. Disponible avec de nombreuses œuvres de la plateforme (mais pas toutes), le bouton X-Ray permet d'afficher en overlay, à tout moment de la diffusion d'un film ou d'une série, différentes informations parmi lesquelles les acteurs et actrices présents à l'écran, ou le nom et l'artiste de la musique jouée à ce moment là.
Cliquez sur « Afficher tout », ou sur un élément précis, vous ouvre alors une plus grande fenêtre avec davantage de détails. Il est ainsi possible d'en apprendre plus sur une personne ou de se rendre à un moment précis d'un film lorsque une musique est jouée. Pratique pour ne pas avoir à sortir Shazam ou Google sur son téléphone.
Faisons pour finir un tour rapide des interfaces mobiles et TV. Concernant les classiques boutons Accueil, Boutique, TV en direct, Téléchargements (ou mon Espace) et Rechercher, ils se trouvent maintenant en bas (sur mobile) ou à gauche (sur TV). C'est mieux, surtout sur TV. Dans les options, il est toujours question de devoir passer par l'interface web du service pour opérer la majorité des changements (sous-titres, gestion du compte…etc.). Cependant, des options pour empêcher la lecture automatique des épisodes ou activer ou non la personnalisation du contenu par appareil sont là.
Un autre souci plus gênant sur Prime Video en général mérite également d'être relevé. Ainsi, il arrive de temps en temps que des œuvres pourtant proposées au catalogue soient introuvables via le moteur de recherche de la plateforme d'Amazon et qu'il soit obligatoire de feinter en passant par Google pour les trouver. Pas idéal.
Catalogue : à boire et à manger jusqu'à exploser, mais à quel prix ?
Passons désormais au catalogue de Prime Video. Comme nous l'avons vu dans la partie interface, le service propose d'abord un accès à des séries et des films à ses abonnés (ces œuvres, dont certaines valent véritablement le coup d'œil, disposent d'une coche bleue en haut à gauche de leur vignette).
Outre cet accès classique, certains films marqués d'un panier jaune sur leur vignette (ou d'une mention « Acheter ou Louer ») ne sont accessibles qu'après avoir payé un coût de location ou d'achat, comme pour n'importe quel service de VoD. Le prix à payer dépend également de la qualité de vidéo souhaitée (SD, HD ou UHD, à partir de 2,99 euros jusqu'à 13,99 euros). Dans le cas de la location, vous avez 30 jours pour commencer à regarder votre film et 48 heures pour le voir ou le revoir une fois la lecture commencée.
Enfin, également indiqués avec panier jaune, Amazon propose de s'abonner à plusieurs dizaines de bouquets supplémentaires pour en profiter directement dans son interface. Ces services concurrents ou complémentaires proposent différents contenus pour des coûts variés (OCS, Pass Warner, FilmoTV, MGM…), et certains proposent d'ailleurs des offres d'essai gratuites. Impossible également de ne pas relever le Pass Ligue 1 qui, comme son nom l'indique, permet pour 99 euros par an de regarder en direct et en replay des matchs de football de la Ligue 1 Uber Eats et de la Ligue 2 BKT.
Tout cela demande un certain temps de compréhension et l'intégration de la part d'Amazon aurait pu être plus pratique et légère. De même, depuis l'arrivée du Pass Warner notamment, certaines séries disposent de fiches différentes selon si elles viennent du Pass Warner ou d'OCS, et les saisons proposées n'y sont pas les mêmes. Un joyeux schmilblick.
Sur les réseaux sociaux, et surtout sur Twitter, Prime Video s'inspire fortement de la stratégie de Netflix depuis plusieurs mois pour faire la promotion de ses futurs contenus via des posts à la fois informatifs et humoristiques.
En ce moment sur Prime Video
Outre la saison 2 de Reacher, dernièrement Prime Video a principalement été dans l'actualité grâce à sa très sympathique adaptation en série du film Mr and Mrs Smith. La série originale Les Expatriées semble également avoir trouvé son public. La dernière saison en date de l'émission Qui Rit, Sort s'annonce, elle aussi, être une bonne pioche. Si vous avez le Pass Warner, la saison 4 de True Detective vaut le détour.
Accessibilité et fonctionnalités : quelques exclusivités bienvenues
Sans surprise, Prime Video est disponible à peu près partout en plus de sa version desktop, compatible avec tous les navigateurs Internet modernes.
Prime Video est proposé sous forme d'applications sur la grande majorité des Box Internet, Smart TV et lecteurs Blu-Ray, sur les lecteurs multimédia (NVIDIA Shield, Apple TV, Fire TV, Fire Stick, etc.), les consoles de jeu (sauf la Nintendo Switch), iOS et Android, Windows, ou encore les tablettes Fire. Le Chromecast n'est bien entendu pas oublié, et un bouton pour caster votre contenu est proposé partout.
Notez qu'il est possible de diffuser jusqu’à trois vidéos en même temps en utilisant le même compte Amazon, et la même vidéo sur deux appareils au maximum simultanément.
Inutile de revenir sur la fonctionnalité X-Ray détaillée dans la section Interface ci-dessus, précisons simplement une fois encore son intérêt, surtout face à une concurrence qui en est dépourvue. De même, rappelons une dernière fois que les versions mobiles (et la version Windows) permettent de télécharger en local du contenu pour pouvoir en profiter par la suite même sans connexion Internet.
Dans son service, Amazon propose également Watch Party, une interface permettant de regarder avec plusieurs personnes un film ou une série de manière synchronisée, et permettant aux utilisateurs de discuter à l'écrit via un chat placé à côté. La fonctionnalité, que seul Disney+ proposait également avant de finalement la supprimer, s'active via un bouton dédié dans l'interface. Il suffit alors d'entrer un nom et de créer puis partager sa Watch Party via un lien ou un QR Code.
Sans surprise, pour rejoindre une Watch Party il faudra être également abonné à Prime Video et aux autres bouquets nécessaires ou avoir loué/acheté l'œuvre si elle vient de la partie VoD.
Notons cependant que cette fonctionnalité va être supprimée de Twitch début avril prochain, faute d'utilisation suffisante d'après la firme. Reste à voir si cela concernera également Prime Video.
Qualité audiovisuelle et service client
Pour le contenu récent, Prime Video propose désormais systématiquement une qualité UHD ; le HDR ou encore le Dolby Atmos sont aussi au rendez-vous de temps en temps. Bien entendu, il faudra disposer du matériel compatible pour pouvoir en profiter ou se contenter des classiques 1080p/5.1/stéréo le cas échéant. Par ailleurs, la qualité de compression vidéo semble être l'une des meilleures du marché, mais cela a un prix : sur l'application NVIDIA Shield notamment (appareil que j'utilise le plus pour Prime Video), la qualité vidéo est vraiment convaincante, mais il faudra une solide connexion Internet pour en profiter et faire avec quelques bugs qui sont aujourd'hui heureusement de plus en plus rares (buffering parfois lent, crash de l'application, obligation de relancer l'appli de temps en temps pour qu'elle fonctionne à nouveau…).
Amazon propose différents moyens pour aider les utilisateurs à régler les soucis rencontrés avec Prime Video. Une riche section aide peut être trouvée en cliquant sur son profil ou via un bouton dans la fiche de chaque œuvre. Des questions/réponses par catégories y sont proposées, tandis qu'un bouton « Contact » propose de joindre un conseiller par email, chat ou téléphone. Dans le cas du chat par exemple, la fenêtre temporelle pour contacter quelqu'un (entre 6 h et 00 h) et le temps de réponse (quelques secondes) est tout à fait satisfaisant.
Qualité/contenu/prix : une offre qui reste difficile à battre
Malgré sa récente augmentation de prix, Prime Video demeure probablement l'offre de SVoD la plus rentable du marché. Rappelons que l'accès à la plateforme est en fait compris dans l'abonnement Amazon Prime, qui propose notamment la livraison rapide et gratuite pour de nombreux produits sur Amazon, l'accès à Amazon Music Prime, une version allégée d'Amazon Music Unlimited, Deliveroo Plus et différents bonus et avantages sur Twitch ou d'autres services du géant.
Non seulement cet abonnement est l'un des seuls à proposer encore une solide offre d'essai de 30 jours, mais en plus, le prix d'abonnement est relativement « doux », notamment comparé à la concurrence. Pour 6,99 euros par mois ou 69,90 euros par an (les étudiants profitent également d'une réduction de 50 %), le seul accès à Prime Video se montre rentable. D'autant que cela inclut automatiquement des technologies souvent facturées plus cher ailleurs, comme la qualité vidéo UHD. Cependant, en y ajoutant bientôt 2,99 euros par mois pour se débarrasser de l'arrivée d'annonces avant et pendant la diffusion, notre avis sera probablement différent…
Le catalogue de films et de séries, entre contenus « anciens » et nouveautés, est relativement riche (et recèle quelques pépites), promettant aisément de vous occuper quelques mois. Et pour les gros consommateurs qui n'ont pas peur de dépenser un peu plus d'argent, les parties VoD ou chaînes supplémentaires intégrées à l'interface sont assurément pratiques. On relèvera cependant que ces derniers mois Amazon semble avoir un peu réduit la voilure du côté des nouveautés inédites. Il faudra muscler un peu son jeu en 2024 pour espérer rester dans le trio de tête.
L'avis de Clubic
Malgré une première accélération, Prime Video n'a toujours pas le volume de créations originales de Netflix (où quantité ne rime pas toujours avec qualité soit dit en passant) pour alimenter son catalogue. La plateforme d'Amazon dispose toujours de moins de films et de séries phares, quand elle ne propose pas des choses carrément médiocres à ses abonnés. Cependant, quelques œuvres valent véritablement votre temps, et une vague de projets ambitieux menés par Le Seigneur des Anneaux sont dans les tuyaux (Fallout, God of War, Warhammer 40,000…). Nul doute que d'ici à quelques années, si Amazon se donne toujours les moyens de ses ambitions, son catalogue sera aussi riche que celui de son principal concurrent.
Pour « seulement » 6,99 euros par mois, l'investissement a tout de même du sens dès aujourd'hui, d'autant que l'expérience est enfin plus agréable sur mobile, téléviseurs et boitiers multimédia. S'abonner à d'autres bouquets ou utiliser la partie VoD ne regardera en revanche que vous, dépassant alors le cadre de cet avis sur Prime Video dans sa version la plus classique. Reste que le Pass Warner, avec notamment les séries HBO, demeure alléchant malgré son prix.
Aujourd'hui, l'interface est enfin unifiée sur les appareils, complète et en grande majorité fonctionnelle. Certaines fonctionnalités comme X-Ray ou (feu ?) Watch Party sont vraiment sympathiques, la qualité vidéo est solide si vous êtes bien équipés, et seuls quelques petits bugs peuvent de temps en temps venir gâcher la fête.
Avec son prix d'abonnement toujours (un peu) plus attractif que les autres, Prime Video est une solution de SVoD tout à fait intéressante. Si elle manque encore de quelques séries phares supplémentaires pour pouvoir être pleinement comparée à Netflix, la plateforme propose un catalogue varié et suffisamment riche pour s'occuper un bon moment. Elle tire également son épingle du jeu avec sa fonctionnalité X-Ray et une excellente qualité vidéo intégrée à son abonnement de base (contrairement à la concurrence). De quoi aider à pardonner l'intégration malvenue de la publicité qui réclame un surcoût pour disparaitre ? À vous de voir.
- Prix d'abonnement assez raisonnable et UHD/HDR intégrés...
- Accès direct à d'autres services...
- La fonctionnalité X-Ray, unique
- ... mais surcoût pour se débarasser de la publicité
- ... mais intégration assez lourde et confuse
- Catalogue d'œuvres originales un peu timide
Tous nos autres avis sur les services de streaming :
- Avis OCS : l'abonnement vaut-il le coup ? (prix, catalogue)
- Avis Paramount+ : l'abonnement vaut-il le coup ? (prix, catalogue)
- Avis Apple TV+ : l'abonnement vaut-il le coup ? (prix, catalogue)
- Avis Disney+ : l'abonnement vaut-il le coup ? (prix, catalogue)
- Avis myCanal : l'abonnement vaut-il le coup ? (prix, catalogue)
- Avis Netflix : l'abonnement vaut-il le coup ? (prix, catalogue)