Ainsi les sextos peuvent désormais être utilisés, notamment en droit, pour qualifier les messages à caractère érotiques ou pornographiques que peuvent s'envoyer deux interlocuteurs via leur terminal. Notons également que le terme texto pornographique peut également être utilisé. Quant à la pratique du « sexting », elle se définit simplement comme étant relative à la textopornographie.
D'autres termes sont également consacrés. Ainsi, le pédopiégeage fait référence aux « agissements d'un individu qui circonvient un enfant à des fins sexuelles, notamment par voie électronique ». Il s'agit donc de la pratique de quelqu'un qui se ferait passer par un mineur pour abuser de lui.
Enfin, la vidéoagression est détaillée comme étant une « captation audiovisuelle effectuée par un complice de l'auteur d'une agression infligée par surprise, en vue d'une diffusion dans un réseau électronique ». Appelé « Happy slapping », la pratique est ainsi traduite dans notre langue.