La plateforme de streaming de Paramount est en pleine forme, et a accueilli plus de 700 000 nouveaux abonnés durant le second trimestre.
En début d'année, la plateforme Paramount+ a absorbé Showtime, pour l'intégrer à son offre Premium.
La montée en puissance de Paramount+
Disponible depuis un peu plus de 2 ans maintenant, le service Paramount+ (autrefois CBS All Access) continue de s'étendre, après un déploiement progressif en Europe l'an dernier. Malgré une concurrence pour le moins féroce, les derniers résultats communiqués par le géant américain sont très positifs, avec aujourd'hui plus de 61 millions d'abonnés dans le monde.
Le groupe indique ainsi avoir accueilli plus de 700 000 nouveaux abonnés en un trimestre, suite à la fusion récente avec un autre géant américain : Showtime. « Avec le contenu de Showtime intégré à notre service de streaming phare, Paramount+ deviendra la marque multiplateforme ultime de l'espace de streaming », expliquait alors Bob Bakish, PDG de Paramount Global.
Une nette progression, malgré diverses hausses de prix
La nouvelle formule affichée à 11,99 $/mois, avec Showtime, a remplacé l'abonnement premium sans publicité initial, facturé alors à 9,99 $/mois. Rappelons que dans le même temps, Paramount a également augmenté les prix de son offre Essential (avec publicité) de 4,99 $ à 5,99 $ par mois.
Paramount+ est en grande forme côté abonnés donc, mais également en ce qui concerne les heures de visionnage, qui ont de leur côté progressé de 35 % sur la période, en prenant en compte également la plateforme Pluto TV.
De quoi permettre à Paramount Global d'afficher un chiffre d'affaires de 1,67 milliard de dollars pour l'ensemble de ses services « direct-to-consumer », les activités de streaming représentant pas moins de 1,23 milliard. La société se veut confiante pour la suite des évènements, avec notamment divers lancements prévus sur de nouveaux marchés, dont l'Australie.
À titre de comparaison, Netflix compte plus de 220 millions d'abonnés, contre 200 millions pour Amazon Prime Video et environ 160 millions pour Disney+, qui a (comme ses concurrents) déjà procédé à diverses purges au niveau des contenus de son catalogue.
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Source : TechCrunch