Par contre, les chaînes possèdent des droits « sur leurs émissions de télévision ainsi que sur les films et les autres éléments inclus dans leurs émissions. Elles sont financées par les publicités véhiculées par leurs émissions ». De son côté, TVC offrait pourtant des services de diffusion d'émissions télévisées permettant à ses utilisateurs de recevoir des flux vidéo « en direct » sur Internet.
Sans autorisation de diffusion exprès de la chaîne, qui détient donc un droit exclusif sur ces programmes, toute diffusion par un tiers s'avère donc interdite, explique la CJUE reprise par l'AFP. En conséquence, ces chaînes peuvent donc proposer leur propre service permettant de consulter leurs programmes à leurs utilisateurs que ce soit en direct ou en rattrapage.