Testez l’interface Android sur un mobile Nokia ou Sony Ericsson !

Paul-Emile Graff
Publié le 19 juin 2008 à 12h30
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Non, nous n'avons pas fait d'erreur dans le titre de cette brève. Nous vous proposons bien de tester l'interface graphique d'Android sur un mobile de marque Nokia (en 240*320) ou Sony Ericsson (176*220 pour les démos techniques et 240*320 pour l'interface). S'agit-il d'une plaisanterie ? Après avoir pu tester la bête, il semblerait bien que non. Comment cette prouesse est-elle possible ? Comporte-t-elle des risques ? Sur le site de Tea Vui Huang, un développeur visiblement très actif dans le domaine de la mobilité, vous pourrez trouver de petites applications JAVA qui vous permettront de mettre la main à la pâte sans prendre le moindre risque.

Attention, il ne faudra pas s'attendre à lancer des applications comme Google maps ou un navigateur Web intégré (comme sur cette vidéo). Il s'agit uniquement de la démonstration de l'interface utilisateur d'un mobile non tactile Android. Le terme uniquement est peut-être un peu réducteur dans la mesure où il est tout de même possible de naviguer au sein des différents menus principaux d'Android en utilisant son propre mobile, rien de moins !

Que penser de cette interface non tactile ? Tout d'abord, nous avons particulièrement apprécié l'excellente visibilité qu'offrent les grosses et belles icônes de lancement. Second point, les menus semblent bien avoir été pensés pour être simples d'utilisation. Le travail a porté ses fruits, on trouve immédiatement ce que l'on cherche. Dernier point concernant les petites idées à valeur ajoutée : les développeurs ont pensé à placer un onglet « contacts favoris » dans le gestionnaire PIM et le numéroteur téléphonique intègre nativement la liste des derniers numéros composés. Parés à vous vous lancer dans l'aventure ?



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Paul-Emile Graff
Par Paul-Emile Graff

Après être tombé dans la marmite des nouvelles technologies en trébuchant malencontreusement sur une GameBoy en 1990, j’ai pu observer de nombreux effets secondaires qui se sont intensifiés tout au long des 23 années qui ont suivi. Désormais, je suis doté d'extensions « naturelles » prenant les doux noms de smartphone, tablettes, PC, Macs, consoles vidéo, Media Centers, etc. Mon système nerveux semble également avoir fait un bond en avant depuis que j'ai transformé ma maison en gruyère pour mettre en place une installation réseau gigabit tentaculaire. La suite au prochain épisode !

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