Techniquement la puce Hydra Engine est capable d'aiguiller les tâches de travail d'une puce graphique à l'autre alors que le pilote contient un moteur de distribution qui intercepte les informations transmises par l'application à DirectX avant qu'elles n'atteignent les pilotes NVIDIA ou AMD pour diviser le rendu en tâches qui sont ensuite orientées vers les GPU de la station. Bien que les moyens technologiques employés restent vagues, l'intérêt de l'Hydra Engine est de faire fonctionner des cartes graphiques ensemble sans forcément avoir recours à une plate-forme compatible alors qu'il serait possible de faire fonctionner des cartes de génération et de puissance différente. Lucid espère commercialiser ses premiers produits début 2009, avec pourquoi pas des cartes mères embarquant une puce Hydra Engine. En attendant, on pouvait apercevoir une démonstration avec deux GeForce GTX 260, sans lien SLI, où le rendu final de la démo fonctionnait parfaitement. En revanche il ne fut à aucun moment question de performance si ce n'est pour dire que le gain lors de l'ajout d'une seconde carte est, je cite, linéaire.
IDF 2008 : une puce pour rendre le multiGPU universel
Techniquement la puce Hydra Engine est capable d'aiguiller les tâches de travail d'une puce graphique à l'autre alors que le pilote contient un moteur de distribution qui intercepte les informations transmises par l'application à DirectX avant qu'elles n'atteignent les pilotes NVIDIA ou AMD pour diviser le rendu en tâches qui sont ensuite orientées vers les GPU de la station. Bien que les moyens technologiques employés restent vagues, l'intérêt de l'Hydra Engine est de faire fonctionner des cartes graphiques ensemble sans forcément avoir recours à une plate-forme compatible alors qu'il serait possible de faire fonctionner des cartes de génération et de puissance différente. Lucid espère commercialiser ses premiers produits début 2009, avec pourquoi pas des cartes mères embarquant une puce Hydra Engine. En attendant, on pouvait apercevoir une démonstration avec deux GeForce GTX 260, sans lien SLI, où le rendu final de la démo fonctionnait parfaitement. En revanche il ne fut à aucun moment question de performance si ce n'est pour dire que le gain lors de l'ajout d'une seconde carte est, je cite, linéaire.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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