Toutefois, à l'inverse de la Belgique ou de l'Italie dans lesquels des services équivalents sont déjà en place, ces démarches en ligne ne dispenseront pas les plaignants d'une visite physique au commissariat. L'internaute recevra effectivement une convocation, l'invitant à se rendre au commissariat pour vérifier et signer sa plainte, validant juridiquement cette dernière.
L'objectif est double puisqu'il devrait permettre dans un premier temps de décharger les commissariats tout en facilitant les démarches des victimes. A terme, d'autres démarches administratives devraient pouvoir être effectuées en ligne.