Bull et SAP travailleront plus particulièrement à optimiser le ratio transaction/watt et à limiter l'empreinte carbone ; proposer des meilleures pratiques dans le domaine des architectures de virtualisation et, enfin, associer technologies serveurs de nouvelle génération et logiciels.
« Ce projet incarne notre vision du 'Bio Data Centre', une nouvelle génération de centres de données qui marque une réelle avancée pour les clients, en qualité de services, en consommation énergétique ainsi qu'en flexibilité », a déclaré dans un communiqué Michel Guillemet, directeur R&D du groupe Bull. Avant d'ajouter, l'Europe a les capacités « d'innover, d'aborder toutes les problématiques environnementales et d'apporter des solutions informatiques plus efficaces ».
Dans un secteur où s'activent des groupes comme HP, IBM et InfoSys, Bull opte pour une relation forte avec l'Allemagne. Après avoir été sélectionné par le centre de Jülich pour son expérience en matière de supercalculateurs, le groupe français a signé début octobre l'accord lui permettant d'acquérir la société allemande de services informatiques Science + Computing AG (S+C).
