Dans la bataille contre la pollution numérique liée au SPAM (ou publicité électronique abusive et non-sollicité), l'Asie a décidé rejoindre la Commission européenne qui avait annoncé il y a quelques semaines qu'elle avait convenu de partager des informations et d'instruire des plaintes au-delà des frontières afin de combattre au niveau européen l'envoi de ces pourriels (voir cette brève).
Treize pays asiatiques sont venus se joindre à cet accord de lutte contre le SPAM. Parmi les participants, on peut citer : la Chine, la Corée du Sud et le Japon. Une participation décisive quand on sait que 20% du SPAM au niveau mondial provient de la Chine et de la Corée du Sud.
En plus de provoquer le mécontentement des internautes, le SPAM aurait une mauvaise influence sur les économies des entreprises comme on a pu le voir dans cette nouvelle.