Dans sa seconde plainte, l'INA remet en cause le système de protection des contenus du site. En effet, YouTube dispose d'une technologie censée repérer les contenus illégaux. Dans un pareille cas, la filiale de Google ne publie alors pas la vidéo.
« Nous considérons que cette technologie de filtrage n'est pas opérante. J'en veux pour preuve que plusieurs majors américaines testent actuellement notre propre technologie de filtrage », a expliqué l'INA aux Echos. Selon le journal économique, l'Institut serait prêt à abandonner sa plainte si sa technologie de signature des contenus était adoptée par Youtube, à l'instar de Dailymotion, TF1 et Canal+. Les premières plaidoiries sont attendues pour février.