Ces minuscules batteries pèsent moins d'un gramme pour une épaisseur inférieure à un millimètre. Il faut toutefois se contenter d'une puissance limitée à 1,5 volt et à une autonomie limitée qui les cantonne à une intégration dans des cartes de vœux ou des cartes bancaires par exemple. Plusieurs batteries en dérivation permettraient néanmoins d'atteindre 6 volts. Elles sont constituées d'une anode en feuille de zinc et d'une cathode en feuille de manganèse, qui réagissent et produisent de l'électricité, et peuvent donc être imprimées selon un procédé similaire à celui des t-shirts ou des panneaux de signalisation.
« Notre but est de pouvoir produire massivement ces batteries pour quelques centimes chacune, » a indiqué l'un des ingénieurs. Elles devraient donc faire leur apparition à la fin de l'année.