Sur une plate-forme comme Facebook, la jeune femme est l'objet d'une vingtaine de groupes dont Soutien à Clotilde Reiss, emprisonnée en Iran, géré par son frère Paul-Etienne Reiss, et comptant près de 40 000 membres.
Les proches de Clotilde Reiss ont également ouvert le blog clotildereiss.org et lancé une pétition, demandant sa libération, comptant déjà plus de 6500 signatures.
Probable bouc émissaire d'un régime sous la pression des puissances occidentales, Clotilde Reiss pourrait néanmoins prochainement bénéficier d'une mesure de liberté préventive. Selon l'agence de presse officielle Iram, la France aurait en effet accepté de fournir une caution et pourrait très prochainement accueillir la jeune femme dans son ambassade, à Téhéran.