À l'heure où la tendance est résolument aux diodes électroluminescentes et à l'extra-plat, ces téléviseurs se contentent d'un rétro-éclairage à tubes (CCFL), qui permet d'obtenir un rendu honorable mais qui impose une épaisseur conséquente. Sony a toutefois succombé à l'appel de la fluidité artificielle en intégrant la fonction Motionflow 200 Hz, qui calcule des images intermédiaires, et d'une obscure technologie anti-flou. Ces fonctions sont associées au récent moteur de traitement Bravia Engine 3, qui « analyse et optimise intelligemment les signaux vidéos pour améliorer les détails, le contraste et le rendu des couleurs ».
Les fonctions connectées également très en vogue sont sans surprise de la partie. Ces téléviseurs peuvent ainsi afficher les vidéos, musiques et photos stockées sur un dispositif DLNA du réseau local, et accéder aux services en ligne AppliCast au travers d'une interface XrossMediaBar (XMB) calquée sur celle de la PlayStation 3.
Il s'agit par ailleurs d'un téléviseur moderne s'articulant autour d'une dalle Full HD (1920 × 1080 pixels) de 40, 46 ou 52 pouces, abritant un tuner TNT HD, offrant quatre entrées HDMI, deux entrées péritel et une entrée VGA.
Ces Sony Bravia Z5500 sont d'ores et déjà disponibles à partir de 2 000 euros.