Utiliser Twitter dans ce cadre était le meilleur moyen d'enjoindre l'individu concerné de s'abstenir d'utiliser un nom de compte associé à celui du propre co-fondateur de Griffin Law. En utilisant l'identité d'un juriste, le ou les internautes concernés ont peu de chances de passer à travers les mailles du filet judiciaire.
« Quels qu'ils soient, la justice leur imposera d'arrêter de poster (des tweets sous une identité détournée), de supprimer les messages antérieurs et de s'identifier auprès de la Haute Cour via un lien web », a déclaré à l'agence Reuters André Walker, porte-parole du cabinet britannique.