L'opérateur Orange (France Telecom) vient de publier une étude sur le « serious gaming ». Il y détail les différentes catégories de jeux sérieux ainsi que les acteurs qui interviennent sur ce secteur.
« Dans le contexte actuel, l'approche du serious game est plurielle. Une des principales raisons est la diversité des acteurs (média, formateurs, industriels, éditeurs... ) », écrit Orange dans son étude. Orange distingue les serious games à message ( message à visée éducative, informative ou persuasive... ), les Serious Games d'entraînement (améliorer les performances cognitives ou motrices des utilisateurs), et les serious games de simulation ou serious play ( qui ne présentent pas d'objectif visant à évaluer les utilisateurs).
« Les domaines concernés par les serious games sont surtout ceux de l'administration (gestion financière et gestion humaine), l'éducation (enseignement, prévention, sensibilisation), l'apprentissage technique (conduite d'engins par exemple), les sciences, le marketing et la sécurité et défense civile », précise Orange qui rappelle que l'avènement du serious game a eu lieu en 2002 avec la sortie de America's Army.