126 x 94 x 64 mm pour 471 grammes sans batterie
L'interface a également été revue de façon à mieux guider les débutants (le public que vise ce D40X) dans les réglages. On est toujours ici sur un modèle entrée de gamme et autant que possible « simple » (boîtier compact, nombreux modes scène pour éviter de se frotter trop vite aux modes manuel et priorité), et dont le capteur est à présent plus proche des standards actuels. En effet, à l'époque où la plupart des reflex entrée de gamme (le 400D de Canon, l'Alpha 100 de Sony et l'E-410 d'Olympus par exemple) et même les compacts sont construits autour de capteurs de 7 millions de pixels et plus, le D40 pouvait sembler un peu « cheap » au yeux du grand public. Tout en étant un peu plus au goût du jour que le D40, ce D40X se démarque encore de ses concurrents en faisant l'impasse sur un dispositif qui se généralise pourtant, celui d'anti-poussières.
Voici ses principales spécifications :
- Capteur : CCD 23,7 x 15,6 mm de 10,2 millions de pixels
- Vitesse d'obturation : de 30 à 1/4 000 seconde
- Viseur : pentamiroir, 95%, 0,8 x
- Écran : LCD de 2,5" de 230 000 pixels
- Flash : synchro 1/200 sec.
- Sensibilité : de 100 à 3 200 Iso (HI 1)
- Support d'enregistrement : cartes Secure Digital / SDHC
- Alimentation : batterie Ion Lithium (EN-EL9)
Dans le même temps, Nikon annonce une nouvelle optique, un zoom stabilisé AF-S DX VR 55-200 mm f/4-f/5,6 G IF-ED. Monté sur un reflex numérique Nikon, cette optique équivaut alors à un 82,5-300 mm (facteur de conversion 1,5 x). Moins polyvalent que le 18-200 mm (voir cette brève), ce nouvel objectif a en commun avec lui d'être stabilisé, ce qui est intéressant dans le cas de longues focales particulièrement sensibles aux tremblements. Cet objectif sera disponible au mois d'avril et proposé au prix de 359 euros.
L'AF-S DX VR 55-200 mm f/4-f/5,6 G IF-ED