Le CEO d'ATI, son épouse et quatre dirigeants de la compagnie canadienne sont accusés de délit d'initié par la Ontario Securities Commission. Si ces allégations s'avèrent exactes, le co-fondateur d'ATI risque de perdre sa place de président directeur général et ATI risquerait diverses poursuites judiciaires.
Fin avril 2000 l'action ATI valait 18$ pour dégringoler le 20 mai aux alentours de 10$. Le CEO d'ATI, sachant que la compagnie allait émettre un profit warning, aurait vendu 240.900 parts d'ATI avant l'annonce de mauvais résultats, empochant quelques 4,6 millions de dollars.
La première audience se déroulera le 14 février 2003.