Les imprimantes laser concernées par l'étude sont de marque , Toshiba, Rioch et Canon. Les imprimantes HP seraient d'ailleurs les plus affectées par ce problème de pollution intérieure, une pollution qui ne subit aucun contrôle ou régulation de la part des autorités. HP précise toutefois étudier ce rapport et dit avoir conduit ses propres tests depuis deux années déjà alors que ses imprimantes répondent aux normes environnementales et de santé publique en vigueur, une déclaration un peu facile vu qu'il n'existe précisément aucune norme à ce sujet.
L'étude a portée sur un total de 62 imprimantes laser utilisées dans un immeuble de bureau de six étages. Au terme de l'étude, les imprimantes sont classées en quatre catégories : les imprimantes non polluantes (23), les imprimantes faiblement polluantes (4), les imprimantes moyennement polluantes (2), les imprimantes hautement polluantes (13). Les tests ont ensuite été répété en laboratoire et d'après l'étude, les imprimantes laser seraient plus problématiques que les photocopieurs lasers. Durant les heures de bureau, la pollution de l'air est cinq fois supérieure à cause de l'utilisation d'imprimante laser, toujours selon l'étude. Si HP est pointé du doigt par les scientifiques australiens, Ricoh lui affiche de bons résultats 4 de ses 5 imprimantes testées n'émettant aucune pollution.
En définitive, et en attendant que des progrès soient réalisé en matière de contrôle de la pollution émises par les imprimantes laser, il convient donc de placer ces dispositifs à distance, préférablement dans une pièce séparée.