« Nous demandons à ce que le contenu sous copyright (proposé illégalement) soit immédiatement supprimé du site », a déclaré un porte-parole de la coalition à l'agence AP. YouTube a déjà été contraint de supprimer quelque 30.000 extraits de programmes nippons. Depuis la mise en ligne en juin d'une version locale de YouTube, la pression augmente. Tout n'est pas figé pour autant. L'industrie du divertissement au Japon, comme ailleurs, est prête à négocier un accord qui lui permette de diffuser plus largement ses contenus dans un cadre légal.
Lors d'une conférence de presse organisée à Tokyo, jeudi 2 août 2007, YouTube a annoncé avoir signé une série de partenariats avec des producteurs de contenus, dont le bouquet satellitaire Sky Perfect TV, la chaîne Tokyo MX, le site Gonzo Doga et la plate-forme communautaire Mixi.