Pour ses K20D et K200D, Pentax ne s'est pas contenté d'une proximité de noms. Le K200D fait en effet de nombreux emprunts à la fiche technique de son grand frère : dispositif de plage dynamique étendue qui préserve les hautes lumières, système anti-poussière et stabilisateur par le capteur pour un gain jusqu'à quatre vitesses.
133,5 x 95 x 74 mm pour 630 grammes
Du côté des modes, le K200D accorde comme il se doit une part assez importe à ceux que l'on appelle les modes scène (au nombre de 15) et dont la fonction est d'éviter d'avoir à recourir trop souvent aux menus. Il n'oublie cependant pas d'emprunter au K20D l'astucieux mode Sv qui donne la priorité à la sensibilité et la touche Raw qui permet de modifier d'une simple pression la qualité de l'image (Jpeg, Raw + Jpeg ou encore Raw). Le caractère « entrée de gamme » ou plutôt amateur se retrouve ensuite au niveau de certains choix et caractéristiques parmi lesquels la présence d'une seule molette pour le réglage de l'ouverture et de la vitesse, une alimentation au moyen de piles AA et enfin un mode « Auto Picture » qui sélectionne automatiquement le mode le plus approprié à la capture de la scène (portrait, paysage, macro...). Moins véloce que son grand frère, le K200D est capable d'enregistrer 3 images par seconde sur 4 vues consécutives tant en Jpeg qu'en Raw.
Voici ses principales spécifications :
- Capteur : CCD de 23,5 x 15,7 mm de 10,2 millions de pixels
- Écran : LCD de 2,7" de 230 000 pixels
- Viseur : avec pentamiroir 0,85 x / couverture 96 %
- Sensibilité : de 100 à 1 600 Iso
- Flash : nombre guide 13
- Vitesse d'obturation : de 30 à 1/4 000 secondes
- Support d'enregistrement : SD et SDHC
- Alimentation : 4 piles AA
- 649 euros boîtier nu ;
- 699 euros en kit avec un 18-55 mm ;
- 949 euros en kit avec un 18-55 mm et un 50-200 mm.