Annoncé fin juillet, ce contrôleur est le premier conçu sous le règne d'OCZ, suite au rachat d'Indilinx au mois de mars, en réponse au au célèbre et (trop ?) répandu SandForce SF-2200. Il s'articule pour rappel autour d'une puce ARM double-cœur et de jusqu'à 512 Mo de mémoire cache, et se démarque par sa fonction « NDurance » améliorant la durée de vie de la mémoire flash, ou par sa fonction d'optimisation du temps de démarrage du système d'exploitation.
Le nouvel « OCZ Octane », décliné en connectique Serial ATA à 6 ou à 3 Gbps, et en capacité de 128 Go, 256 Go, 512 Go et 1 To, en tire l'essentiel de sa fiche technique.
Les modèles S-ATA III revendiquent 560 Mo/s et 45 000 IOPS en lecture, 400 Mo/s en écriture. Ceux en S-ATA II s'en tiennent à respectivement 275 Mo/s, 30 000 IOPS et 265 Mo/s. Les débits vaudraient y compris pour des données non compressibles, grâce à des optimisations du contrôleur.
La famille « OCZ Octane » sera commercialisée à partir du 1er novembre pour des prix non communiqués. Il s'agit quoi qu'il en soit de modèles haute performance qui seront tarifés comme tel.