Test PlayON! HD mini

Paul-Emile Graff
Publié le 14 janvier 2010 à 11h39

Introduction

La guerre des lecteurs HD fait rage. Cette fois, il faudra compter sur un nouvel acteur du marché nommé A.C. Ryan. Le constructeur propose une large gamme et cette fois, nous nous intéresserons tout particulièrement au PlayON! HD Mini. Que vaut ce produit face à la concurrence ? Réponse à l'issue de notre test !

A.C. Ryan est une marque assez peu connue dans nos contrées. Sa maison-mère est basée aux Pays-Bas tandis que production et développement du firmware sont réalisés à Singapour. D'après le bref historique proposé par le site Web officiel, la marque est présente sur le secteur des nouvelles technologies depuis 1992. Toutefois, pour l'heure, la gamme d'A.C. Ryan se focalise sur l'univers des boitiers multimédias HD.

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Photos du boitier et vidéo de l'interface



PlayON ! HD Mini : petit, mais costaud : les mensurations du PlayerHD! Mini sont nettement moins importantes que celles du PlayON! HD et pour cause, cette fois, le boitier ne renferme pas de disque dur, ni de système de refroidissement. Pourtant, même si le lecteur est petit, on n'atteint pas encore le degré de compacité d'un Western Digital TV HD Live. D'autre part, il faut rappeler que si le PlayON! HD avait la bonne idée d'embarquer un lecteur de cartes SD, la version Mini en est dépourvue. Au rang des autres petits reproches, que ce soit avec la version classique ou mini, on peut regretter l'absence d'une prise USB en façade, ou le fait que A.C. Ryan se soit limité à deux prises au total.

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Le design est similaire à celui du PlayON ! HD mais cette fois, le boitier a subi une cure d'amaigrissement.


Ergonomie du menu et de la télécommande

Même si l'ergonomie des menus est plutôt bonne, on regrette l'austérité profonde de l'interface. Les icônes ne sont pas très réussies et dans l'ensemble, les ingénieurs d'AC Ryan ont utilisé une palette sombre qui manque cruellement de couleurs. Autre petit point d'ombre : la surface de l'écran est particulièrement mal utilisée au point qu'on a l'impression que les menus ont été uniquement optimisés pour les téléviseurs en basse définition.

Enfin, lorsqu'on bascule en français, on s'aperçoit que quelques phrases (ou mots) sont tronquées. Heureusement, ce défaut n'est pas suffisamment prononcé pour nuire à la compréhension globale. Au final, en dépit des petits inconvénients cités, l'ergonomie reste agréable. On n'est jamais perdu dans les menus, et même si le cas venait à se présenter, un simple appui sur la touche « home » de la télécommande permet de revenir instantanément au menu général.

Seul petit regret : lorsqu'on parcourt la liste des fichiers vidéo, l'interface perd sa réactivité. Le système d'exploitation perd du temps lorsqu'il génère l'aperçu. Il est possible de désactiver cette fonctionnalité, mais même dans ce cas, un temps de latence sépare souvent l'action sur la touche de la télécommande avec son effet à l'écran.

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L'interface est austère, mais l'ergonomie est tout de même satisfaisante.


Du côté de la télécommande cette fois, AC Ryan propose un périphérique qui ne tranche pas avec les habitudes. Les mensurations n'ont pas été réduites par rapport aux standards, mais le confort est au rendez-vous. Les boutons sont disposés de façon logique, on trouve donc presque instantanément ce que l'on cherche.

En revanche, au chapitre des critiques : si les touches fermes inspirent plutôt confiance, le plastique mis en œuvre pour le corps ne respire pas vraiment la qualité. D'autre part, on aurait apprécié que les touches de la télécommande soient rétroéclairées (ou taillées dans un matériau luminescent).

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La télécommande est confortable, mais les plastiques mis en œuvre ne respirent pas vraiment la qualité.


Contrôles lors de la lecture

Les possibilités de navigation au sein du fichier vidéo sont très importantes. Les ingénieurs d'AC Ryan en sont conscients : ils proposent d'attendre un point précis de la vidéo de plusieurs manières différentes. Tout d'abord, on trouve une classique option d'avance et de retour rapide (1, 1.5, 2, 4, 8, 16, 32 x) parfaitement fonctionnelle. La toute nouvelle puce de décompression de Realtek (1073DD+) prouve son efficacité, puisqu'elle s'affranchit des accélérations sans broncher.

D'autre part, pour réaliser des sauts instantanés, il suffit d'appuyer sur la touche « Goto » de la télécommande. Cette action déclenche l'ouverture d'un menu qui vous propose d'accéder directement à un chapitre, ou de vous rendre sur à un endroit précis de la ligne chronologique. D'autre part, il faut insister sur l'efficacité des outils proposés : avec la plupart des vidéos SD ou HD, les sauts sont immédiats !

Enfin, au besoin, il suffit de faire défiler la « timeline » à l'aide des touches gauche et droite de la télécommande, et d'appuyer sur « OK » lorsque le cureur est positionné à l'endroit souhaité. Difficile de faire plus simple.

En revanche, il est important de préciser qu'en fonction des fichiers vidéo, l'utilisateur n'aura pas forcément accès à toutes les options de navigation que nous venons de citer. En effet, pendant nos tests, nous avons pu constater qu'en présence de certains films, les PlayON! HD et mini ne proposent pas de menu « Goto » , et limitent l'avance rapide aux vitesses 1.5x et 2x (dans ce cas de figure, le retour rapide est purement et simplement indisponible !). Fort heureusement, ce cas de figure reste rarissime. Avec 98 % des autres séquences vidéo, nous avons bien eu accès à l'ensemble des options de navigation proposées par Ryan AC.




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Avance et retour rapide performant ou saut instantané : tout est là.


Il manque simplement la possibilité d'accéder à un pourcentage donné de la vidéo en appuyant sur le pavé numérique de la télécommande (1 pour 10%, etc.) pour que la boucle soit bouclée.

Partie vidéo : qualité, compatibilité, sous-titres

Qualité et compatibilité

Le constructeur annonce une compatibilité totale avec de très nombreux formats vidéo (voir tableau récapitulatif de début d'article). Dans la pratique, il faut soumettre de nombreux échantillons représentatifs pour émettre un premier avis sur la question.

Sur une vingtaine de fichiers vidéo, les PlayON! HD et Mini ont été mis en défaut à deux reprises. L'appareil n'a pas été en mesure d'ouvrir un conteneur AVI de 700 Mo dont le flux a été encodé en DivX 5 (1560 kbps en 592 x 352). Le second fichier (mp4) à problème est encodé en High@L3 0 - AAC (640 x 480, 600 Kb/s). La non-prise en charge de ces séquences n'est pas rédhibitoire. Les PlayON! ont été en mesure de lire la totalité de nos autres fichiers de test sans poser la moindre difficulté. Ajoutons à cela que les fichiers HD sont rendus de belle manière. Dans tous les cas, détails et fluidité sont de mise.

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Associée à la partie logicielle de Ryan AC, la nouvelle puce de décompression de Reaktek produit une image fluide et détaillée.


Pour ce qui est des rips de supports optiques cette fois, nous avons pu constater que les lecteurs HD de Ryan AC étaient parfaitement en mesure d'interpréter la structure d'un DVD. Lorsqu'on tente d'ouvrir un répertoire contenant les fichiers VOB, l'interface propose automatiquement de parcourir le fichier, ou d'ouvrir le disque virtuel. Une fois le disque démarré, on a accès aux menus interactifs ainsi qu'aux différents chapitres.

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Le format DVD est parfaitement pris en charge.


Prise en charge des sous-titres :

Comme on pouvait s'en douter, les sous-titres sont bien pris en charge par les PlayON! HD et PlayON! mini. Tout comme avec la majorité des concurrents, les PlayON! sont bien en mesure de lire les fichiers texte séparés (SRT, etc.). Les lecteurs d'A.C. Ryan vont même plus loin puisqu'ils supportent également les sous-titres intégrés dans le conteneur (MKV, par exemple).

Avec les réglages par défaut, les sous-titres occupent la moitié de l'écran lorsque le rythme des dialogues est soutenu. Pour remédier à ce problème, il suffit de diminuer la taille des caractères. Le menu de configuration des sous-titres propose de nombreuses autres options. Il est possible de modifier l'encodage ou la couleur des caractères ainsi que la position des sous-titres (verticale). Autre point positif : en cas de problème de synchronisation, on peut paramétrer un laps de temps de décalage pour faire correspondre l'apparition du sous-titre avec les dialogues du film.

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Les sous-titres sont parfaitement pris en charge.


Quid du streaming vidéo ?

Les boitiers d'A.C. Ryan sont bien compatibles UPnP mais attention, seul le mode client est pris en charge (heureusement, ce dernier est le plus important). En clair, le boitier peut lire les contenus diffusés en streaming par un appareil tiers compatible (ordinateur sous Vista ou Windows 7, autre boitier HD, appareil photo compatible, Smartphone, etc.). En revanche, il n'est pas capable de diffuser son propre contenu vers une autre platine HD (à la manière du Pop Corn Hour).

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L'UPnP fonctionne, mais sur le PlayON!, les standards supportés ne permettent pas d'utiliser les formats vidéo les plus courants.


Tout comme avec les autres lecteurs UPnP, il ne faudra pas s'attendre à des miracles puisque la version du standard qui est utilisée ne supporte pas les formats vidéo les plus utilisés. Dès lors qu'on sort des sentiers battus du WMV et autres MPEG, il est impossible de lire un film « streamé » en UPnP à l'aide du PlayON! Exit donc aux fameux formats Divx et MKV. Finalement, on apprécie surtout l'UPnP pour le partage simplifié des photos ou des vidéos puisque dans ce cas, on ne note pas de problèmes de compatibilité majeurs.

Audio, photos, et fonctionnalités annexes

Partie audio

Si on met de côté le résultat peu esthétique entrainé par la superposition des informations liées aux fichiers audio sur l'interface générale des PlayON!, la partie audio donne entière satisfaction. On peut même dire que les développeurs de Ryan sont allés au bout des choses dans la mesure où nous avons même droit aux radios Web « Shoutcast » (un mode de diffusion audio qui regroupe des centaines de radios). Cette fonctionnalité reste suffisamment rare pour être soulignée.

Pour ce qui est de la partie audio plus traditionnelle, le lecteur fait dans le classique : les principaux formats sont bien lus (OGG Vorbis compris) et les pochettes d'album sont reconnues.

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Les listes de lecture au format .PLS sont prises en charge.


Voyons cette fois ce que donnent les PlayON! HD et mini en matière de streaming audio. Les Shoutcast d'AOL sont-ils parfaitement supportés ? Depuis le menu général, les PlayON! proposent l'accès à un menu « Radio ». L'onglet invite l'ensemble des radios web d'AOL dans le boitier d'A.C. Ryan, rien de moins ! Dans la pratique, les choses ne se passent pas forcément comme on l'espère : il arrive que le moteur de recherche ne donne pas de résultats avec certaines chaines de caractères.

Heureusement, dans la majorité des cas, le système fonctionne plutôt bien. On peut parcourir la liste des stations ou des genres (même si tous les genres du site officiel ne sont pas listés ici). Au final, même si quelques bugs subsistent encore, on apprécie vraiment de disposer d'un module Shoutcast intégré. D'autre part, les ingénieurs de Ryan ont pensé à faciliter la vie des utilisateurs en proposant un système de gestion de stations de radio favorites. Lorsqu'on positionne le curseur sur une radio, il suffit d'appuyer sur la touche « menu » pour l'ajouter aux signets.


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Même si quelques bugs subsistent encore, on apprécie vraiment de disposer d'un module Shoutcast intégré.

Partie photo

La partie photo offre tout ce que l'on est en droit d'attendre. Les PlayON! proposent de modifier la durée ou la nature des transitions lors d'un diaporama. Pour les transitions, les deux appareils proposent pas moins de 8 effets différents. Toutefois, dans le lot, on retiendra surtout les fondus enchainés dans la mesure où les autres transitions manquent souvent de finesse ou de fluidité.

On peut également opter pour un mode « pan and zoom » qui s'avère être idéal pour profiter au mieux des photos en mode portrait. Enfin, pour jouer la carte de l'ambiance, les développeurs ont eu la bonne idée de permettre de jouer une piste audio en tâche de fond. Rien à redire, les PlayON! HD et Mini sont les compagnons idéaux des séances photo en famille ou entre amis.

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Les PlayON! sont les compagnons idéaux des séances photo en famille ou entre amis.


Capacités réseau, sécurité et fonctionnalité annexes

Les PlayON! proposent deux fonctionnalités réseau principales. Tout d'abord, ces deux lecteurs HD sont compatibles « Samba ». En clair, le boitier pourra s'ingérer dans un réseau mixte composé de machines Windows, Mac OS ou Linux sans qu'il soit nécessaire d'installer le moindre programme. L'avantage consiste à gagner en confort lorsqu'on souhaite gérer le contenu du disque dur intégré ou rattaché au lecteur PlayON!. En revanche, on ne peut pas basculer sur une connexion FTP, ce protocole n'étant pas pris en charge.

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Samba est disponible, mais le protocole FTP n'est pas supporté.


Enfin, les PlayON! proposent un module de lecture de flux RSS qui présente des intérêts multiples. Il n'est pas uniquement possible de consulter les dernières nouvelles postées sur ses sites favoris, A.C. Ryan propose également un accès aux images postées sur FlickR ou Picasa. D'autre part, on peut atteindre à un module de prévisions météo capable d'enregistrer plusieurs lieux géographiques favoris. L'ensemble fonctionne plutôt bien, mais pour les nouvelles, on aurait apprécié de pouvoir saisir les URL en passant par l'interface Web du boitier. Comme on peut s'en douter, il n'est pas très aisé de saisir des adresses à rallonge en utilisant le clavier virtuel affiché à l'écran.

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Les flux RSS : un standard pour quatre possibilités.


Copie de fichiers

Les développeurs qui ont conçu les boitiers PlayON! ont eu la bonne idée de proposer un gestionnaire de fichiers à double panneau particulièrement pratique. Une fois qu'on maitrise les tenants et les aboutissants de la chose, on peut déplacer, copier ou supprimer les fichiers à loisir. Seul bémol, parfois, le manque de réactivité de l'interface s'avère être gênant. Cette lourdeur se transforme souvent en sources d'erreur lorsqu'on souhaite effectuer les manipulations rapidement.

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A.C. Ryan propose une sorte de gestionnaire de fichiers à doubles panneaux.


Différences entre PlayON! HD et PlayON! HD mini

Quelles sont les différences qui séparent réellement les deux boitiers de A.C. Ryan ? La première est immuable : contrairement au PlayON! HD, la version « Mini » n'embarque pas de disque dur interne (il est impossible d'en ajouter un à l'extérieur du boitier). Sur le mini, les vidéos pourront être stockées sur disque dur externe attaché en USB, ou sur une ressource réseau.

La seconde différence est susceptible de disparaître avec l'arrivée d'un nouveau firmware. À l'heure où nous écrivons ces lignes, le client Bittorrent est encore instable sur la version Mini. A.C. Ryan a donc pris la décision de le désactiver en attendant que le problème soit corrigé.

Il est possible de flasher le firmware du Mini en utilisant le fichier de mise à jour du PlayON! HD classique pour faire revenir la fonctionnalité, mais A.C. Ryan déconseille cette pratique dans la mesure où elle ne corrige pas le problème de stabilité.

Conclusion

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La toute nouvelle puce de décompression HD signée Realtek (1073DD+) implantée dans les boitiers PlayON! prouve qu'elle en a véritablement dans le ventre. La compatibilité est plutôt bonne, et en présence de taux d'échantillonnages élevés, cette dernière produit une lecture fluide de bonne facture. D'autre part, la rapidité des sauts lors de la navigation au sein d'un fichier vidéo (même volumineux) atteste des excellentes performances de cette puce.

En revanche, si les prestations de décompression sont plutôt satisfaisantes, il est important de préciser que dans certaines conditions, il est parfois impossible de bénéficier des nombreuses possibilités de navigation au sein du fichier vidéo. Ce cas de figure est rare, mais lorsqu'il se produit, la fonction GOTO est inopérante, et l'avance rapide n'est plus accessible.

D'autre part, on apprécie la prise en charge native du protocole Samba et des radios Web Shoutcast. Ces possibilités annexes sympathiques sont plutôt bien maitrisées par les ingénieurs de A.C. Ryan.

Pour ce qui est de la conception matérielle du produit cette fois, on se situe clairement un cran au-dessous des standards. Les plastiques font un peu toc et les raccords de finition laissent parfois à désirer.


Au final, le bilan est très positif, même si on ne peut pas s'empêcher de regretter que l'interface peu esthétique ne tire pas mieux profit de la taille de nos écrans HD. On attend également qu'un firmware vienne combler les quelques défauts de jeunesse du boitier.




PlayON! HD Mini

6

Les plus

  • Ergonomie / Qualité de lecture
  • Totalement silencieux / très compact
  • Wi-Fi optionnel / Radios web / Mode USB hôte

Les moins

  • Couche réseau Samba perfectible
  • YouTube et bittorrent absents
  • Deux uniques USB, mais pas de prise en façade

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Lecture A./ V.9

Solidité/finition6

Interface6

Capacités réseau8

Paul-Emile Graff
Par Paul-Emile Graff

Après être tombé dans la marmite des nouvelles technologies en trébuchant malencontreusement sur une GameBoy en 1990, j’ai pu observer de nombreux effets secondaires qui se sont intensifiés tout au long des 23 années qui ont suivi. Désormais, je suis doté d'extensions « naturelles » prenant les doux noms de smartphone, tablettes, PC, Macs, consoles vidéo, Media Centers, etc. Mon système nerveux semble également avoir fait un bond en avant depuis que j'ai transformé ma maison en gruyère pour mettre en place une installation réseau gigabit tentaculaire. La suite au prochain épisode !

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