L'Elysée compte donc trouver « la réponse à la question de la régulation. Quelle régulation pour Internet, comment répond-on à la problématique du terrorisme, de la pédophilie, de sujets comme le droit à l'oubli ? ». Autant de thématiques qui seront discutées lors de ce G8 du Web à Deauville les 26 et 27 mai prochains.
Plus précisément, les services du chef de l'Etat expliquent : « Il ne s'agit pas de brider la liberté d'internet, les conditions de son développement, il ne s'agit pas de reprocher aux Américains d'avoir pris des positions considérables en la matière mais au contraire de voir comment on peut réguler la cité virtuelle sans nier que l'internet est une chance ».
Un rapport devrait même être édité à l'issue d'un rendez-vous entre certains des pays les plus industrialisés de la planète (États-Unis, Japon, Canada, Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie et Russie).