Si SkyDrive est disponible sous la forme d'applications, Microsoft n'oublie pas ceux qui passent par SkyDrive.com pour gérer leurs fichiers. La firme vient donc de mettre à jour son service, et détaille ses nouveautés, comme d'habitude, dans un long billet de blog.
La plateforme gère désormais les écrans haute résolution (appelés Retina par Apple) : jusqu'à présent sur de tels écran, chaque pixel d'une miniature ou d'une photo occupait quatre pixels à l'écran (deux en hauteur, deux en largeur). Autre ajout côté photo : la possibilité de visionner des GIF animés, ce qui n'était pas le cas précédemment.
Une gestion et un partage revus
SkyDrive.com bénéficie également de fonctionnalités basiques, mais qui lui manquaient jusque-là, comme la possibilité de faire pivoter des photos. Il est également possible de visionner les photos selon des catégories et albums spécifiques, grâce à une option de filtres.
Le partage des photos à des proches a également été revu, pour offrir plus de liberté aux utilisateurs qui souhaitent partager, en même temps, des fichiers issus de différents supports (appareil photo, smartphone, tablette) et stockés en même temps sur le service. Par exemple, il est possible de partager en une seule fois toutes les photos enregistrées à une date spécifique, tout support d'origine confondu, et mêmes si elles ne sont pas toutes dans le même dossier d'origine, le destinataire pourra quand même les visionner comme si elles font partie du même album.
Autre nouveauté, la possibilité de visionner d'un seul coup d'œil la totalité des fichiers partagés, pour modifier le partage en conséquence. Dans le même espace, il est également possible de visualiser les fichiers partagés avec l'utilisateur, classé du plus récent au plus ancien. Enfin, il est également possible d'autoriser un destinataire à modifier un fichier - un .doc, par exemple - même si ce dernier n'est pas connecté à SkyDrive.
Un ajout pour les développeurs
Microsoft conclut son billet en indiquant avoir fait des ajouts à son éditeur de texte, pour que ce dernier soit capable d'afficher la syntaxe des codes HTML, CSS et Javascript. « Les développeurs peuvent même afficher les modifications et comparer leurs différents codes » termine la firme.