Mark Zuckerberg, ici avec Jesse Eisenberg, son double dans The Social Network.
C'est ce film qui a popularisé l'histoire des frères Winklevoss.
C'est ce film qui a popularisé l'histoire des frères Winklevoss.
Iront-ils jusqu'à la cour suprême, ou vont-ils laisser tomber ? Les frères Winklevoss n'ont plus que ce recours pour se faire entendre devant la justice des Etats-Unis. La cour suprême pourrait certes refuser de se saisir du dossier, et leur croisade serait alors bel et bien terminée. A moins qu'ils ne décident de jeter l'éponge, comme semble leur avoir conseillé le panel de trois juges, qui ont une nouvelle fois rejeté leurs accusations contre Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook. Pour les juges, « il faut mettre un point final » à ce cas.
Légèrement excédés ? Il faut dire que le cas Winklevoss-Zuckerberg n'est pas nouveau. Il a même été tranché très récemment, puisque le mois dernier, une cour d'appel avait déjà décidé que les deux jumeaux devaient se conformer à l'accord signé entre eux et Mark Zuckerberg en 2008. Même s'ils estimaient alors avoir été leurrés par Facebook, qui n'aurait pas fourni les vrais chiffres sur sa valeur estimée (lire Les frères Winklevoss font appel du jugement contre Facebook pour l'histoire entière).
En avril, on apprenait peu après la décision du tribunal que les deux frères avaient lancé une nouvelle procédure en appel. Ils estimaient que la première cour n'avait pas pris en compte la jurisprudence sur la fraude, et que leur dédommagement était insuffisant. Cette fois, ça pourrait être la fin, puisqu'une cour fédérale a à nouveau rejeté leurs accusations. Facebook s'est simplement dit content de la décision de justice.